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Page:Sue - Les mystères de Paris, 7è série, 1843.djvu/176

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— Rien de plus simple : je n’ai eu qu’à suivre vos instructions à la lettre pour terrifier et écraser ces infâmes. Dans cette circonstance, monseigneur, vous avez sauvé, comme toujours, des gens de bien et puni des méchants. Noble providence que vous êtes !…

— Sir Walter, sir Walter, rappelez-vous les flatteries du baron de Graün… — dit Rodolphe en souriant.

— Allons, soit, monseigneur. Je commencerai donc, ou plutôt vous voudrez bien lire d’abord cette lettre de madame la marquise d’Harville qui vous instruira de tout ce qui s’est passé avant que mon arrivée ait confondu Polidori.

— Une lettre ?… donne vite.

Murph, remettant à Rodolphe la lettre de la marquise, ajouta :

— Ainsi que cela était convenu, au lieu d’accompagner madame d’Harville chez son père, j’étais descendu à une auberge servant de tournebride, à deux pas du château, où je devais attendre que madame la marquise me fît demander.