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Page:Sue - Les mystères de Paris, 7è série, 1843.djvu/216

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somme à la disposition du Chourineur, celui-ci n’a pris que ce qui lui était rigoureusement nécessaire pour revenir à Paris, où il ne peut tarder à arriver, me dit-on.

— Alors il nous expliquera lui-même son changement de résolution ; mais envoie à l’instant de Graün chez la comtesse Mac-Gregor… et va toi-même à Saint-Lazare t’informer de Fleur-de-Marie.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Au bout d’une heure, le baron de Graün revint de chez la comtesse Sarah Mac-Gregor.

Malgré son sang-froid habituel et officiel, le diplomate semblait bouleversé ; à peine l’huissier l’eut-il introduit, que Rodolphe remarqua sa pâleur.

— Eh bien ! de Graün… qu’avez-vous ?… Avez-vous vu la comtesse ?

— Ah ! monseigneur !…

— Qu’y a-t-il ?

— Que Votre Altesse Royale se prépare à apprendre quelque chose de bien pénible.

— Mais encore ?…

Mme la comtesse Mac-Gregor…

— Eh bien !…