Page:Sue - Martin l'enfant trouvé, vol. 7-8.djvu/172

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son front dans ses deux mains, et resta morne, silencieux.

Pour moi, le moment était venu d’agir, je ne voulais pas laisser le prince s’enivrer, il me paraissait se posséder plus encore que lors de son arrivée au bal, car l’ignoble entraînement auquel il venait de céder, semblait avoir plutôt glacé qu’enflammé ses esprits.