Page:Sue - Mathilde, tome 6.djvu/216

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rire convulsif et cet air égaré qui m’effrayait — les médecins… n’ont pas dit comme ma mère : C’est une comédie !… Eux… ils ont dit… — C’est une femme morte… Alors j’ai crié à ma mère : — Eh bien ! vous voilà contente… vous entendez… C’est une femme morte !… Ah !… nous voici arrivés… C’est ici ! — s’écria-t-il.

La voiture s’arrêta.

M. Sécherin descendit précipitamment. Je le suivis en hâte.