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regrets.


Disaient comme la chair se fond,

Pour laisser l’âme unie à l’âme.
La brise gémissait d’amour comme une femme.

Ô toi qui ne te souviens plus
De nos longs baisers éperdus,
Tu ne sais plus que le vieux chêne,
Abritant mon coeur tout noyé
D’espoir en l’union prochaine,

Ce même été, fut foudroyé.