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Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 3, 1748.djvu/30

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GUZMAN.

Je ne la puis souffrir.La pauvre délaissée !
Monsieur, si par hazard elle étoit fort pressée,
Et qu’à vous en défaire on vous vît empêché,
Pour vous faire plaisir, je prendrai le marché.

D. JUAN.

Guzman a le goût bon.

D. FERNAND.

Guzman a le goût bon.Il faut voir l’inconnue
En l’état où je suis, tout dépend de sa vûe,
Son destin éclairci pourra régler le mien.

D. JUAN.

Voyez-la, mais enfin ne précipitez rien.