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Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 5, 1748.djvu/139

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D. César.

Qu’il est doux de me voir mépriser pour moi-même !

Carlin.

Mais quand vous en riez, elle en souffre.

D. César.

Mais quand vous en riez, elle en souffre.Allons voir
Quels mépris de nouveau j’en pourrai recevoir.