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Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 5, 1748.djvu/53

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Pour empêcher l’hymen qui fait notre supplice,
Voyez Agamemnon, j’irai trouver Ulysse,
Quelque paix qu’à Priam Achille ait pu jurer,
S’ils sont tous deux pour nous, nous pouvons espérer.