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DE CABOUL.
ota se tient debout devant le feu ; les adorateurs sont rangés derrière lui. On apporte d’abord au célébrant de l’eau pour laver ses mains : il en prend un peu dans sa main droite, et la jette par trois fois sur l’irmtan, de manière à ce qu’elle traverse la flamme. Il répète à chaque fois le mot souch, qui signifie pur. Il répète ce même mot en aspergeant la victime, qui est d’ordinaire une chèvre ou une vache, et il
siste disent-ils, à l’entretenir d’une matière qui ne fasse point de fumée ni de puanteur, etc. »
Mais Chardin, comme on voit, ne parle
que par ouï-dire et il seroit possible d’ailleurs que, dans le Caufiristan, la nécessité eût fait adopter une méthode différente.
(Note du Trad.)