Page:Tacite - Oeuvres complètes, trad Panckoucke, 1833.djvu/409

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XVII. Menenius Agrippa. — Voyez, sur ce personnage, Tite-Live, ii, 32.

Célius. M. Célius Rufus. Il se trouve de ses lettres parmi celles de Cicéron. Voyez aussi, sur ce personnage, Cicéron, Brutus, 79.

Calvus. — Voyez Sénèque, Contr., iii, 19 ; Cicéron, Brutus, 82, et chap. xviii de ce Dialogue.

Brutus. M. Junius Brutus, celui même dont Cicéron a donné le nom à son Dialogue de Claris oratoribus.

Cette seule armée aussi des règnes de Galba, etc. Il y a’dans l’édition Princeps : Atque unum G. et O. et V. longum et unum annum. De même, dans Put. et Bér., en omettant longum et. Lipse a mis, d’après son ancien manuscrit, ipsum, qui, peut-être, est de trop aussi bien que unum, qui est avant ; autrement, ipsum unum serait prœcise unum. — Longum semble être inutile. Toutefois, Schurzfl. pense que cela est dit, parce que, entre la mort de Néron et le commencement du règne de Vespasien, il y a eu un intervalle d’une année et vingt-deux jours.

J’ai vu moi-même en Bretagne. De cet endroit, Schulze conjecture, dans les 'Prolégom., p. 38, et avec lui Louis G. Crome, dans le programme sur la lecture du Dialogue des Orat., in-4o, Luneb., 1790, qu’Aper était Breton, ce qu’ils pensent être confirmé par le chap. vii, où il se dit in civitate minime favorabili natum. Ce qu’il dit expressément au chap. x, ne quid de Gallis nostris loquamur, s’oppose à cette opinion.

Aux dernières distributions. Brotier, sur cet endroit, donne, avec beaucoup de clarté, l’historique des congiaires (distributions extraordinaires). Celui dont il est ici question avait été donné sous Vespasien par son fils Titus, l’an de Rome 826.

XVIII. S. Galba. Schulting. croit avec assez de probabilité qu’il a échappé ici C. Lœlio, qui est plus bas, chap. xxv ; il est nommé avec Galba parmi ceux dont Aper a fait mention. Quant à Galba, voyez Cicéron, de Claris orat., xxi et suiv ; et à C. Carbon, ibid., xxvii.

Comparé au vieux Caton, etc. Sur Caton, voyez Quintil., xii, 11 ; sur Gracchus, Plut., et Cic. dans Brutus, 33 ; sur Crassus, Cic., de Orat., iii, 1, in Verr., iii, 1, et aussi dans Brut., 38.

Toujours ce qui est ancien est loué. Velleius (ii, 92) dit exac-