Page:Tagore - L’Offrande lyrique.djvu/137

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pouvoir puisse rien retenir, toutes les choses se précipitent.

Emboîtant le pas au rythme de cette musique inlassée, chaque saison accourt en dansant, puis passe outre — couleurs, tons et parfums déversent d’infinies cascades dans cette surabondante joie qui s’éparpille et se renonce et meurt à tout moment.


LXXI


Que j’aie dû foisonner beaucoup et me retourner en tous sens, projetant ainsi des ombres bigarrées sur ta splendeur — telle est ta maya.

Tu poses une barrière à même ton