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Page:Tagore - L’Offrande lyrique.djvu/161

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J’ai dépensé grand nombre d’heures dans le combat du bien et du mal, mais à présent c’est le plaisir du compagnon de mes jours vides de rappeler mon cœur à lui ; et je ne sais pas ce que signifie cet appel brusque pour quelle inconséquence inutile.

XC

Le jour où la mort viendra frapper à ta porte, quel présent lui offriras-tu ?

Je placerai devant la visiteuse la pleine coupe de ma vie — certes je ne souffrirai pas qu’elle reparte les mains vides.

Et la douce vendange de tous mes