Page:Tagore - Le Jardinier d’amour, 1920.djvu/117

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Sur le mur, les tâches noires de la fumée, traces de veillées lointaines, me regardent de leurs yeux aveugles.

Quelques lucioles volètent dans le buisson près de l’étang desséché et des branches de bambous étendent leurs ombres sur le chemin envahi par l’herbe.

C’est la fin du jour ; je ne suis l’hôte de personne et, fatigué, j’ai la longue nuit devant moi.