Aller au contenu

Page:Tagore - Le Jardinier d’amour, 1920.djvu/122

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le soleil disparaissait ; à l’occident le ciel était d’or.

Anéanti, brisé de corps et d’esprit, semblable à un arbre déraciné, le fou se remit à chercher le trésor perdu.