–17–
Il y a longtemps qssjcvoM envoiay une tMtt6 pour Monsieur le marquis de Pompone,etquefquesjoursaprës une autre pour Monsieur Danditly. Je ne sçay sy vous m’avez fait l’honneur de les leur randre, ou pour mieux dire, sy vous les ave& receues. J’ay apris avec un grand chagrin le mal de vos yeux, sçachant combien il importe au bien public que vous ayez bonne veue, pour faire imprimef tant do beaux ouvrages que vous avez à nous donner. Je vous envoyé par un de mes meuteurs amis M. Trinquatté quelques MMnpMrM de la vie de M. Maran, le plus grand jaHaeMMOtt~ de fra.[M& après’ M. Cujas, que j’ay mise & la) teste de ses œuvresiqae j’ay faites hapnmer ent vol. in-fol. ~N~t<t bonique co~M~ e< M~ 6tNKt~ Escrivez-m’en vostM sentiment. Toute ma famille vous baise les mains. Je suis,
tS~an~vMfM’M.
(1) JiM<t<, M), set~ 4& Mott<j~ S’! dt m<mt<etttm<!) t~oodtt atnttt ta t9 féwier )672 Monsieur, je re~M hier matin les exemplaires de la vie de feu M. M<fàa,9MVoM m’~e! MftiMMeard? m’envoyée, dot« jt tO)M rMteWoie’tres BMtxNemtM. te t’tjf leae M<c pM~f, tant- pifrM <ta’eHe est d< «xtre ttt<~ qne parce qn’it s’y agit d’an homme de grand mérite, pour la mémoire duquel j’ay foujoaTSëubcâacoapde respect mesmement parce qu’i! avoit esté t’an des docteurs iMs’ tmqoets feu Dfgr de Hafest avait apprn [e dreict. J~ay MMi pt<f p)tti<H de voit fettïter M. Ee thmoa toaeXMt eeqa’it a p«B))< daCajMi EefjeMMMtdttM en la page XIV qoe ?. aarm Bf <iM)et pM e~e’ «tHetOtttM d~)f!MtM<x~ et ~te ttoar tte-tenHefta.perte’4 «ttedtgaM, it<Mtto)tfpfmt)t«’<))<’<t<’eM9teoa<&<’MoMt n’est pa~Htrementent meMtioo’d&s defatef.! Mt?*, ettntMevo~te’rentat~Mt~t Sien. K ne aftf T6tte-p!)M rien à Te<M dite :< cw~e~t ~n’itptt)’ ~~teaf MMt ment la vie dto t«<tt)nmithNtretd~tM<i)!e,MiMptft<!ei! t~~Metd’ettttmMOthttettre, n’eiempte de saint HiefMOtt, bq<tet~Wnt!%)R~X HtMWMt~teWtutt eM«t«Me <i(, y ttteattM t!)t<g< de M ~t<tM<t atfenW~e. Att même (1).
Monsieur,
Monsieur,
Vost])e très-humble et ttè6*obeiM<mt
~tEBON.
