tie. Ces insinuations habilement murmurées,
commençaient à exciter de jeunes
convoitises. Par le peu qu’on apercevait du
corps de la servante, on ne pouvait se
tromper en supposant sa peau très blanche,
et ses appas très en forme. De petites effrontées
ne dissimulaient pas leur tentation de
la prendre au mot, et la gentille Rosy, se
décidant subitement, sortit sur ses talons.
Dans un cabinet demi-obscur, pièce de débarras,
Rosine attrapant la fillette par un
bras, la poussa dans ses cuisses où elle se
trouva de suite en présence du con et du
chat très épais : Rosy patouilla, chercha le
clitoris, le branla et le suça, saisit dans ses
mignonnes mains le gros cul de la forte
fille, le pelota et le chatouilla, ne refusa pas
quelques feuilles de rose, quand se retroussant
par derrière, Rosine le lui plaqua sur
le visage. De retour dans le salon de danses,
elle communiqua son enthousiasme sur
la magnifique charpente de la servante à
ses intimes, et à partir de ce moment celle-ci
n’eut qu’à jeter un coup d’œil pour entraîner
à ses trousses une émule de Sapho.
Onze heures venaient de sonner, et on ne
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