Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/629

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La bamboula hystérique des nègres. — Le tronc des danseurs ruisselle de sueur, les respirations sifflent, les yeux sortent des orbites… (Page 669.)

aplatie de façon à représenter le sec, long et osseux profil du diable ; tantôt en s’épatant, s’épaississant, comme tassée de bas en haut, tandis que la bouche s’ouvrait, formant la gueule courte et glauque du crapaud ou le derrière du bouc, dont le nez relevé simulait la queue.

Je me frottais énergiquement les yeux, pour me convaincre que je n’assistais pas là à une illusion d’optique, mais à une réalité due évidemment à un maléfice dont je ne pouvais m’expliquer la cause ni la raison.