Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/653

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Le bienheureux curé d’Ars couchait dans son pauvre grenier, sans lit, sous le toit auquel manquaient des tuiles. Là, le diable venait le tourmenter, le privant de sommeil, l’attaquant avec violence, lui donnant de grands coups d’escabeau à lui briser le corps. (Page 704.)

de l’affection jusqu’à la crise qui la caractérise et permet d’asseoir d’une façon définitive le diagnostic jusqu’ici réservé.

Jusqu’à présent aussi, avec moi, le lecteur trouvera qu’il n’y a rien de bien surnaturel dans tout cela, et qu’il est matériellement impossible de confondre un bon hystérique, bien et dûment hystérique, avec un possédé, et que ce n’est pas parce que l’hystérique fait quelques mouvements incohérents et des contorsions, qu’il viendra à l’idée de personne, sauf à des malintentionnés ou de parfaits ignorants, de le confondre avec un possédé.