l’occasion des traductions faites par Moet et portant son nom, traduisent : et publiées par un Ami de la vérité par J.-P. Moet répété ; il n’en est rien, car ils ont été publiés par un M. J-A. Tulk, membre du Parlement anglais, qui en a fait les frais.
Grégoire a parlé de l’état de l’église de la Nouvelle Jérusalem, dans son « Histoire des sectes religieuses » t. V, 84-109, mais on trouvera des renseignements plus complets et plus nouveaux dans « la Nouvelle-Jérusalem, revue scientifique et religieuse » ; cette revue a paru, de mars 1838 à mars 1847 (années 82 à 91 de la nouvelle révélation), sous la direction de Jean-François-Étienne. Le Boys des Guays, auquel on doit la nouvelle traduction à peu près complète des œuvres de Swedenborg ; la liste s’en trouve à la suite du « Swedenborg » de Matter.
T.
* THÉOPHILUS (Christophorus).
Le renseignement sur Chr. Theophilus pris par Philomneste junior dans le catalogue Ouvaroff, n’est pas exact ; le « Systema theologico-mysticum est seul du pseudonyme Christoph, Theophilus ; Aurore de la sagesse, no 129 qui suit, est d’un écrivain resté anonyme.