545. — L’épine entée sur les bons fruits signifie que l’âme par elle-même n’est pas disposée pour la vertu, mais moyennant l’adjuvance du précepteur, elle se rend très utile. (H. 99, r.)
546. — Le lin est dédié à la mort et à la corruption des mortels ; à la mort par les lacèrements des oiseaux, animaux et poissons ; à la corruption par la toile où s’enveloppent les défunts qu’on ensevelit qui corrompent leur linceul. Et encore ce lin ne se détache que par fétu ; s’il ne commence à macérer et à se corrompre, car il doit couronner et orner les offices funéraires. (G. 68, v.)
547. — Par le mouchoir qui se tient avec la main au cours de l’eau courante où la toile laisse toutes ses saletés, cela signifie… (G. 68, r.)
547 bis. — L’aigle en son vol méprisa le hibou, mais il englua ses ailes dans la poix et fut pris et tué par l’homme. (C. A. 67, r.)
548. — Le lys se pose sur la rive du Ticino, et le courant traîne ensemble la rive et le lys. (C. A. 76, r.)
549. — Le noyer montrant au-dessus du chemin la richesse de ses fruits aux passants, tout le monde le lapide. (C. A. 76, r.)
550. — Le figuier sans fruits, personne ne le regarde ; il voulut être loué des hommes, avec ces mêmes fruits, il fut plié et rompu. (C. A. 76, r.)
551. — La plante se désole du pieu sec et vieux qui est placé à son côté et des autres vieux