Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/11

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de crème riche, mise en valeur par les tétons roses qui pointaient de ses seins pleins et par le rose encore plus profond de ses lèvres et de sa bouche.

Elle se tenait debout sur l’un des coussins de soie qui, épars ou empilés, étaient dispersés à profusion dans la pièce. Elle avait ainsi la même taille que moi. Dès que j’eus terminé mon discours, je m’avançai et la pris dans mes bras.

En réponse, ses doux bras s’enroulèrent autour de moi ; et nos lèvres se rencontrèrent en un long et délicieux baiser, tandis que mon membre était emprisonné contre son ventre chaud et lisse. Alors elle se souleva sur la pointe des pieds, ce qui amena mon gland dans les poils courts et épais de sa toison. D’une main, je guidai mon membre jusqu’à l’entrée qui l’accueillit ; de l’autre, je serrais contre moi ses fesses rebondies. Puis elle redescendit progressivement, et, ce faisant, j’entrai lentement et délicieusement dans sa gaine humide, chaude et gonflée. Quand elle reposa de nouveau sur ses pieds, je pouvais sentir son ventre vibrant reposer sur ma hampe.

Les autres femmes s’étaient rassemblées autour de nous ; leurs baisers pleuvaient sur mon cou et mes épaules et je sentais la présence de leurs seins et de leurs ventres contre mon dos et mes flancs ; en effet, elles nous soutenaient tellement, Inez et moi, qu’il semblait que j’allais me mélanger à elles toutes à la fois. Je n’avais donné que quelques coups de reins dans les entrailles d’Inez, lorsque ses joues devinrent d’un rose plus foncé et que ses yeux se mirent à chavirer ; ses lèvres s’ouvrirent et je sentis ma verge inondée par une délicieuse humidité.

Puis sa tête tomba sur mon épaule, le sperme accumulé depuis des mois jaillit si abondamment de mon gland que je crus me vider complètement en ondes de plaisir dans la belle espagnole. Ses soupirs d’extase trouvaient un écho non seulement dans les miens, mais aussi dans ceux de toutes ces femmes rassemblées autour de nous. Elles relâchèrent doucement leur étreinte et nous étendirent sur une pile de coussins. Ce faisant,