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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/12

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mon membre rétréci se retira sans effort du corps d’Inez et une partie de mon sperme se répandit alors en éclaboussant le sol.

« Ce n’est pas bien de ta part, Inez, de prendre plus que tu ne peux garder », dit l’une d’elles d’un ton si pitoyable que nous avons tous éclaté de rire. Quant à moi, je me rendis compte alors de l’imprudence de la promesse que je leur avais faite, mais elles formèrent gaiement un cercle autour d’Inez et moi en se prenant par la main et se mirent à danser, leurs membres ronds et blancs et leurs seins charnus flottant dans la lumière au son d’un chant d’amour mauresque qu’elles reprirent toutes ensemble. Les joues posées sur les seins généreux d’Inez, je regardais ce cercle charmant, comme une scène de conte de fée. Des bracelets et des anneaux d’or brillaient, enchaînés à leurs bras et à leurs jambes ; bagues, colliers et boucles d’oreilles de diamant et de rubis, qu’elles portaient à profusion, luisaient à chaque mouvement.

Chacune d’elles avait les cheveux minutieusement arrangés dans un style particulier et il n’y avait aucun vêtement inopportun pour dissimuler leurs charmes. Je les exhortai à prolonger encore et encore ce spectacle ensorcelant, ce qu’elles firent volontiers. Puis elles se rassemblèrent autour de moi, s’étendant aussi près que possible sur les coussins pour se reposer, dans des attitudes pittoresques et voluptueuses.

Tout en reposant ainsi, j’échangeais souvent un baiser ou une caresse avec mes belles compagnes, en prenant soin de le faire avec impartialité. Puis il me vint l’idée que j’aimerais entendre de la bouche de chacune d’entre elles un des épisodes les plus intéressants et les plus voluptueux de leur vie. En insistant un peu, ces dames y consentirent et ce fut Inez qui commença.