Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/22

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

je ne pouvais pas lui demander de retirer son bras. J’étais étourdie par ces émotions contradictoires.

« Pour l’amour de Dieu, épargnez-moi », murmurai-je. Ma tête tomba, il la posa contre son cœur — je m’étais évanouie. Quand je fus de nouveau consciente, j’étais allongée sur le dos sur le divan, dans les bras du Comte, la dentelle sur ma poitrine était écartée, mes lourdes jupes étaient relevées sur mes cuisses nues et il était en pleine extase, inondant mon fourreau de sperme.

C’était cette sensation exquise qui m’avait fait reprendre conscience, mais il était trop tard pour le rejoindre dans le plaisir. Sa hampe se ramollit et rétrécit, et je restai désespérément en plan. Je le suppliai alors de s’en aller, car ce n’était ni l’heure ni le lieu pour cela.

« Me recevrez-vous dans votre chambre ce soir ? demanda le comte en embrassant mes seins nus.

Il avait tellement éveillé mon désir que je n’hésitai plus.

— La porte d’entrée sera déverrouillée toute la nuit, répondis-je, et ma chambre est directement au-dessus ».

Puis il me laissa me relever. Je rajustai ma robe en désordre aussi vite que possible, mais je ne fus pas assez rapide. Le valet ouvrit la porte pour apporter la carte d’un visiteur. Il en vit assez pour que je tombe en son pouvoir.

Après le départ du Comte, je trouvai la bourse dans mon giron ; elle contenait plus que ce que j’avais perdu, mais je ne pensais pas à l’argent. Mes lèvres avaient goûté le fruit défendu ; je n’étais plus la même femme ; mon excitation avait abouti à un désir lascif. Je pouvais à peine attendre que la nuit vienne.

Quand la maison fut enfin tranquille, je déverrouillai la porte d’entrée, je me retirai dans ma chambre et me déshabillai. J’étais en chemise, prête à passer la robe de nuit que je tenais à la main quand la porte de ma chambre s’ouvrit et Alex, le valet, apparut devant moi un doigt sur les lèvres. C’était un beau jeune homme de dix-sept ans, de famille hongroise, qui travaillait à moitié en qualité de secrétaire