Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/23

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et à moitié comme valet de chambre pour mon mari. Je ne pus retenir un léger cri, en dissimulant mon corps autant que je le pouvais avec ma chemise de nuit.

« Madame, dit-il, je sais tout, mais je serai discret. Je vous demande seulement de me donner la plus douce preuve de votre confiance ».

Je ne pouvais rien faire contre. En murmurant « Quelle honte », je m’allongeai sur le lit et me cachai sous les draps. Il se déshabilla rapidement et me rejoignit. Mon intention était de le renvoyer avant le retour du Comte ; je le laissai donc progresser assez vite. Il me prit dans ses bras, embrassa mes lèvres et mes seins et, lorsqu’il souleva ma chemise, nos cuisses nues se touchèrent. Il était beaucoup plus agité que moi. J’avais attendu un amant tout l’après-midi et lui ne pouvait pas savoir quel accueil il recevrait. Il pouvait à peine guider sa queue vers les lèvres qui l’accueillaient.

Quant à moi, je commençai là où je m’étais arrêtée avec le Comte. Mon fourreau dévorait chaque centimètre qui le pénétrait avec une extrême gourmandise et, dès le premier coup, j’éprouvai une jouissance adultère que je n’avais jamais ressentie dans les bras de mon mari. Juste à ce moment, j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir doucement et se refermer. Je repoussai Alex avec une telle force qu’il dut complètement retirer sa verge raide.

« Ramasse vite tes affaires et cache toi dans ce placard », dis-je. Aussi follement désireux qu’il fût de conclure, il se précipita dans le placard avec ses vêtements lorsque le Comte entra.

Celui-ci s’approcha et m’embrassa. Je faisais semblant de dormir. Il se déshabilla en hâte et, entrant dans le lit, il me prit dans ses bras. Mais je retardai ses avances autant que possible. Je lui fis raconter tout ce qu’on disait sur mes pertes aux cartes. J’utilisai tous les artifices pour le tenir à distance jusqu’à ce que ses efforts finissent par éveiller mon désir.

Puis il me monta et son robuste membre grossit et me pénétra tellement plus profond que celui du jeune