Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/35

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pour me libérer, tandis que mon mari le maudissait et le suppliait tour à tour, mais sans effet. Je tentai de me rapprocher de mon mari, mais cela ne servit qu’à le rendre témoin encore plus proche de ce qui suivit.

Le brigand me bascula soudainement dans l’herbe et se jeta au-dessus de moi. D’une main, il plaqua mes deux mains sur le sol au-dessus de ma tête ; de l’autre il déchira le devant de ma robe et explora mes seins, qu’il palpa de sa main et suça de sa bouche. Puis il souleva les pans de ma robe et mon jupon.

Je redoublai d’efforts et parvins même à libérer une de mes mains ; mais à ce moment-là, il avait écarté mes cuisses avec son genou et s’était allongé entre elles. Il plaqua mes deux mains comme auparavant, et de sa main libre sortit son membre et le fit entrer en moi. Alors chaque mouvement que je faisais semblait le faire entrer davantage. Je ne pouvais que sangloter de rage et de honte. Le brigand, avec sa force herculéenne, a fait ce qu’il voulait de moi, sous les yeux de mon mari qui se mit alors à hurler des insultes.

Bien qu’en colère et mortifiée comme je l’étais, cela commençait à m’être agréable. Pour échapper à ce comble de l’humiliation, je fis un effort désespéré pour me libérer. Mais je fus plaquée au sol par une poussée féroce de mon ravisseur, et je sentis alors un jet puissant envahir mon ventre. La sensation me ravit presque, mais sa puissante étreinte se relâcha de telle sorte qu’au prix d’un grand effort je m’extirpai de sous lui.

Je courus vers mon mari et commençai à le délier, mais le brigand me saisit par les poignets et me traîna un peu plus loin sur le sentier. Alors il plongea brusquement ses mains sur mes seins en les écartant, embrassa mon visage que je détournais et me laissa partir.

Je courus en tremblant et en sanglotant vers mon mari, que je libérai le plus vite possible. Il détacha le cheval sans mot dire, et ne m’aida même pas à monter dans la voiture ; il nous ramena chez nous dans l’obscurité silencieuse et morne.