Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/44

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je levai le visage pour prendre le baiser qu’il me donna en se penchant vers moi. Les regrets se mêlèrent alors aux baisers, tandis que je laissais tomber mon peignoir en dévoilant mes seins. Il s’aventura timidement à les embrasser ; ses baisers devinrent de plus en plus ardents. Je le menai alors au point où un homme n’a plus toute sa conscience. Il s’étendit sur le lit à côté de moi, me prit dans ses bras et nos lèvres s’unirent.

Autant de mon fait que du sien, mais il ne le savait pas, mon peignoir et ma robe s’ouvrirent, et il ne restait plus qu’un jupon et une chemise pour s’interposer entre son petit objet raide et mes cuisses. Malgré le désir qui m’enflammait, j’avais assez de retenue pour lui laisser le soin de retirer ces légers obstacles. Je pouvais à peine supporter sa timidité. Je devais être la première femme qu’il pénétrait, car il guida maladroitement son membre vers les lèvres qui aspiraient à se refermer sur lui. Il avait une petite chose, mais très raide.

Enfin il me pénétra un peu et le contact de son pénis contre ma virginité me donna comme un choc électrique ; cela fit vibrer mes nerfs de plaisir et, dans l’attente de l’union toute proche, je ne pouvais même plus feindre la pudeur. Je l’enveloppai involontairement de mes bras et il donna la poussée fatidique.

Sa petite queue transperça ma virginité et je ne ressentis pas plus de douleur qu’un jeune taureau aurait senti une piqûre d’épingle. La douleur fut balayée par un plaisir écrasant. Un frisson secoua chaque fibre de mon corps, non seulement à la première poussée, mais à trois reprises, et à chaque pénétration, je poussai un soupir de ravissement. Puis mes muscles tendus se relâchèrent et je reçus avec plaisir encore au moins une douzaine de coups.

Quelque chose me manquait encore. C’était le jet de sperme que Tessidor déversa finalement comme un baume dans ma gaine surchauffée. Il sombra lourdement sur moi pendant quelques minutes, le visage enfoui dans mon cou. Je m’abandonnai à une langueur voluptueuse,