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CASINA , ACTE Il , SCÈNE IV. mg mîcr: 3V9Cl|1î 9116 DE ¤10·¤¤1l1€1‘î1 dû 1‘î011; €U€ $€1‘€• prouve tout lc tourment de l’am0u1·, et ma femme chauffes, noumë, h8h1U€€ · ët #16 ¤¤1‘ë§ dü <I¤€•1 bm met toute son industrie à contrarier mes projets ; élcvqr ses enfants. Cela HBVAUI-Il [NIS m1€\Lï qllü dôlâ elle a pénétré mon intrigue. (Test pour œla qxigllg UÃOUBCT à CE II18ChHI1î·_§•3\1) 613 mülüülï $¤,I€t» (1*11 D F1 Smondc avec wnt de chaleur lu pretenuon de notre pas seulement une pxcœ dc plomb dans sa bourse? “ écuyg;-_ Ctéos. Un homme de cet âge oublier ainsi son · devoir! SCENE IV. Stal. Comment donc! , . . . STALINON C Cleos. Est-ce que, sn U1 écoutms la raison et les ’ HALIN convenances, tu nelmc laisseraîs pas disposer de ma SML (Q part) Cha1in!.. que le ciel le confondu servante , dqnt 10 som nfappartnent? I Chai. V 0!;rc.femme me dit que vous me demandez. Stal. Quoxl ne seraxt-ce pas un mme de donner Stal. 0111, Je Hai fait appeler. cctœ tllle à ce médhant soldat? Cha!. Qu’avcz·v0us à me dim? Cléos. Il faut pourtant faire quelque chose pour Sm I. D’z11101·dj’exige que tu mc répundes à cœur noire fils umque. 1 ouvert. Sm!. ll est mon fils unique , Gest vrai; mais C/zal. A quoi bon cet air sévère? xfavez-vous pas il 11’2st pas plus fils unique pour moi que jc ne suis tout pouvoir? père unique pour lui. Il est plus juste qu’il cède à Stal. Tu m’as toujours paru un brave homme. ma volonté que moi à l`a sienne. C/ml. Je vous comprends : si vous avez cette opi- Cléos. Tu cherches la de méchants détours. nion de moi, pourquoi ne nfaffranclnisscz-vous pas? Stat. (à part) Elle a quelque soupçon; je lc vois. I Stan!. Je lc veux bien. Mais ma volonté n’ est rien , (haut) Moi, des détours? mm ne la secondes. Cléos. Oui, mi. Car pourquoi ce trouble? pour- Cha!. Je brûle desavoirccquevous exigez de mnî. quoi prendre feu pçuy ce mq1·1agcP _ I ` Stal. Écoute, Je vais te le dire : j’aî promis de Stat. Parce que ymmc mieux marier Cnsma ax un donner Casin:1 en mariage En notre fermier. honnête esclave qu’à un vauricn. Chai. Maïs votre femme et votre fils me l’0nt Cléos. Eh bien! si j’ubœn:1is du fermier qu’il la promise. cédât à ce brave écuyer, pour Yamour de moi? Stat. Je le sais. Mais aîmes—tu mieux rester gar- Stal. Et moi, si je déœrminais cet écuyer à 1’a- gm et devenir libre, ou Ie marier et vivre dans Pes- bandonner à son rival! et je mo Ilattc d’y réussir. clavagc, toi et tes eufants?'.l'u as le choix : prends la Cléas. Volonücrsl Veux-tu que je fasse venir ici condition quite plaira davantage. Chalîn de ta pu1·t?tu1e presseras , et moi j’insis'œrai Cha!. Si je suis libre., je vîvrai à mes dépens, au auprès du fermier. lien de vivre aux vôtres. Quant à Casina, je ne la Stat. Je veux bien. céderai à personne au monde. Cléos. I1 sera bientôt ici. Nous verrons lequel de Stal. Allons, rentre , et fais venir ma femme nous Jeux a le plus dïniluence. (EU? sort.) §111·-lc-champ.- Apporte avec toi une urne et tous les Stal. Puisse Hercule et tous les duaux la confon- mstruunents divinatoires. dre! Mamtenant qucjc puis parler à mon aise, j’é- Cha!. Volontîcrs. Servo fmgi, atque ubî illi bene sit Jigno , aqua oalidu,cibo, Ego discrucîor miser amore : mn nutem quasi Obindummm Vestimnntis, ubique cducm pueros, quos purîat, potins Mi nüvorsatur. Subolet hoc jam uxorî, quad ago machîuor; Quam ilii setvo nequam des armîguro, nîhîli atque in- Proptereumrcm nnagis armjgeru datoperum de îndustxiu. prubû, Quoi homîni hodîe pcculî mxmus non est plumbmxs. 239 SCENA QUAHTA. Cleostr. Mirnm, escastor, tc senecta œtntc opiinium tuum _ Non memlnissc? SMI. Quid jam? Cleoslr. Quia, si fucias STAUNL CHALmUS· metz aut. commode, Stal. Qui ilium di omneis deœquc perdant. Cha!. Ta aîebnt Me sinus curarc zmcill ns, quœ mea est curutio, mn ` 260 Stat. Qui, malum, hûmînî s<:\1üg¤1'\1\0 düfü lllbëî'? Clfûwï Mc vocarc. Sm!. Ego cnim vocarl jussï. Chai. Eloqugm gum Quia enim tillo _ velis? NOS 0p0l‘i€î 0PîlU]û1'ï_\1¤î00· M- 'lüümquïfïf Umcn-’“e Stul. Primllm Cgo î€ porrectîore fronîe volo macum lgqui, Nîhilo magis unicu’st1l|c mihi mms , qnam ego llll puter: (;},,,,l_ Smmüa est gi œ cam uistzm _ quojus poœstu plus W Illum mihi œquîu’st, quam me illi , quœ volo, concedere. tes; ljlcastr. Tute , ecnstût, til1i,h0¤10, mülüm Him f1Uœ1'ï$· SML Stal. Pm ! 1'mnœ frngî hnmîncm tcjam prklcm 4555;; m·)m|·0L·_ çmmum, 5 Subclct, senüo. 247 Cha!. Intellego. (nd c¤··«=w~¤····.)Eg¤¤e? Cleowr T¤· NM1 •1¤î•î î1ü5`? <1\1î<ï Quin,s1 ita arbitraœ, emittis me mmm? Stal. Quan, ld istuc tam cupîde cupîs? v0I0. 265 Sm:. Ut enim frugîservodctnr potins, quum S2rV0î¤pP0h0· Sert mlm est, ma cupnm faclum, nisi tu fzmtis adjuvng, Clçnslr. Quid si ego înpetm atquc cmtù 1 VÃUKGO. MUSE Cha!. Quod vclîs, ¤10duid\elim me scire. Stat. Ausculta mea, %® ergo , loqu ar. Ut gam illî pcrrnitlat? Sm!. Quid si Eg!) nuîùm ab armîgcro Casiuam ego uxomm prnmisî vilüœ nostm dam. iupclrc, Cha!. Al. tua. uxor fîliusque promisernnt mî.Stal. SCIO. Bam mi permlttat? ntque hoc credo inpvimâëvrê- Sm] umxm num: tu, oœlîbem ease te mavis lihemm , .270 Chontr. C0nvenit:vist11|sCha|innm huc evoccm vcrbis forns? An maritum scrvom œtatem degerc cl. gnatos tuos , Tu cumamlo, egoautem orubc villicum. Stat. Sm1eV0l0. Optio hœc tua ’st; utrnm humm vis, conditîonem adcipg. Clwstr. Jam heic exit: mmc experiemur, nostrum utcr sit Ulm!. Liber si sim , mao periclo vivam, nunc vivo tua. _ blzndjor. (nbü) 255 Du Casina certum 'st, ooncedeœ homini nato nemini. SML? Hercules djque islam ptrdrmi, quo:] nunc Iîœnt Stat. Intro abî , atque actutum uxorem hun eroca anteœdvls « mm. cita. W5