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Page:TheatreLatin1.djvu/140

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CASINA , ACTE Il, SCÈNE VIII. 113 Chai. Je me meurs! mon cœur palpite, il se pion. Comme il frémissait, comme il s’agimi:, le gonfle; comme la frayeur fait battre ma poitrine! misérable! comme il a bondi du pied quand le fer- Cleos. Je tiens une houle. mier a gagné! Mais mettonsnous à Pécart. J’ entends Stat. Montre-la. le bruit de la porte, et mes bons amis viennent à Chg!. (à Olympion) Est-ce que tu n’es pas déjà moi. Placé là en embuscade, je vais dresser embû- muet. che contre embûche. Olymp. Voyons... Gest la mienne: SCÈNE VIH

 Iéihiqicüïl d OLYMPION STALINON . CHALIN

os. iam, as per u. i 7 · J Sarl. nous pouvons vivre mamtenant, O y ¤[>1¤¤' Ozynt. (ux Smlmon) La1ssez·le venir a la campa- e suis d une joie... · gue; et je vous renverrai notre homme à la ville, noir Olymp. C est ma piété et celle de mes ancêtres comme un cha,.b0m,iE,._ qui nous vaut cette chance. ` _ Stat. (Pest ce qu’il faut faire. lcéîâaçrâgogièâïîl ma @816 femme, et V8 faire d Tam. Cest aussi ce que je ferai... j’aurai soin Clgos Texéouterai ordres B mt y · `— 1 A · r · — - . ' V · J _ ` 1 f _ _l Stal. ai vou u que Cballn, S il étalta la maison, tïüüi S¤}S·W fl'-! 1lY F1 10111 d lm ü 3 mue 0** I allât au marche avec toi. Tirriterai encore son dépit doit conduire sonépouse. par cette vexatîon. ' Chaos. Je le sais. _ ` Cha!. (à ]Ja1‘t)Appt0cll0nS-nous à reculons de la U Stan!. Bentre, êt q1101q11€ 3 ¤0¤€f€·C¤E!¤` îûûhü de muraille, à la manière des scorpions. Il faut qu’à la bien faire les choses. dérobée j’entende ce qu’ils disent; l’un me met à la Cleos. Il suffit. torture, 1’autre me fait sécher de jalousie. Mais le Stal. Rentrons nous-mêmes, et pressons-los. voilà en robe blanche (1) le noir fripon, ce grenier wymp, Est-ee moi qui vous retient? a à coups d’étrivières. Bemettons ma mortà demain". Stcâl. (bds qq (zlympîtm) J6 110 PUIS €|1 d11`€ d8\'¤¤· Je veux Penvoyer devant moi chez Pluton. tage evant C a ln. Olym. (ès Stalinon) Comme je me suis montré ·~ docile envers vous! tout ee que vous avez désiré ` . . ' JC SCENE Vu' l’a1 fait. Celle que vous aimez sera avec vous au- errlns mt. Jegfjlepê lfgsgy gem *°·*mg~e b . l _ ` . - 1. s 16llX son SI ons pour moi Fi! me pendre maintenant ne servirait a rien : que, si je ne me retenais, je fembrasserais , ô mes 9 outre ma peine, je payerais les frais d’une corde, chères délices! et je donnerais du plaisir à mes ennemis : sans Cha!. (à part) Comment Fembrasser! qu’est-ce tout cela, ne suis-je pas déjà mort? le sort m`a à dire? Où sont donc vos délices? vaincu : Casina épouse le villageois. Ce qui m,l1’1‘1Tî0 Olym. Vous m’aimez donc maintenant? le plus, ce n’est pas le triomphe du manant, mais Séal. Plus que moi—même. Veux-tu que je te bien Yentêtement de ce vieillard, qui par ses ma- baise? nœuvres m’enlève cette lille et la donne à ()lym· (U C,,,,,,,,,,, d,,, mmé,_ De labore pectus tundit. Clc0aL1·.Tenc0 sortem. Stal. Enfer Ut ille trepidabat! ut festînahat miser! foras. 395 Ut subsultabat , postquam vieil villicus ! Cha!. Jamne mortuus? Otymp. Ostende; mea ’st. Cha!. Mala Mat, eoncedam huc; audio aperiri farcis . crux ea est quidem. Mlhi benevolenteis : atque a me prodeunt. un Cleostr. Victus es, Chaline, Sm!. Turn nos din vivere, Olym- Hein ex insidiis hisce ego insidias daho. io Gaudeof Olymp. Pîetate Iactum ’st mea. atque maiorum SCENA OCTAVÀ. meum. Stat. Intro abî, uxor, atque adorna nubtias. Cleostr. Fa- OLYMPKL STM-ïN0· CHM-·mU$· ciam, ut juhes. Olymp. Sine modo ms veniat , ego remittam ad te virum Stat. Scin’ tu ruri esse ad villam longe, quo ducat? Cîeastr. Cum iurca in urbem , tamquam carbonarium. Scio. Sm!. Intro abi : 400 Stal. ltaiieri oportet. Otymp. Factum et curntum dabo. Bt quamquam lm hhi ’¤t ware. www fee ¤üwr¤S· Chow- sm:. Volul Chaliuum, sl domi essen, mittere izo Licet. _ Teeum opsonatum , ut etiam in mœrore insuper Slalblflamuîv nos qugquc mêro, h0!'t8¤|\IX‘ ll! ])1`0P9|0|'|É· ënimicu nogtro nêiîlcüarpdhanc adjungcrîm, ymp. um qui moror hal. Recessim am parietem im tahor nepam, Slal. Nam prœsente hoc plura verbe non desidero. Captandu ’st horum clancnlum sernio mihi. _ Nam illorum me alter cruciat, alter macerat. 425 SCENÀ SEP UMA. Al eandidatus œdit hic mastigia , ’ Stimuiorum loculi : prolollo mortem mihi. CHM‘mUS' Cerlum ’st hunc Achernntem praemittam prius Si nunc me suspendam, meam operam Iuserim , Olymp. Ut tibi ego inventus sum obsequens! quod rnaxume Et praeter operam restim sumtifecmm , 406 Cupiehas , ejus copiam feci hbi. lao Et meis Inimlcis voluptatem creaverim. Erit hodxe tecum, quod amas, elam nxlorem. Stat. Tana. Quid opu ’st, qui sic mortuus? equidem (amen Ita me di bene ament, ut ego vix reprnmo Iabra , Sorti sum victus. Casina nubet villico. Ob islam rem quin te deosculer, voluptas mea. Alque id non tam aigre ’sl jam vicisse villicum, Cha!. Quid ? deosculere? quœ res est? voluptas qua tua ? Quam id expetivisse opere tam magno senem, 4lo Olymp. Ecquid amas mmc me? SML lmo , edepol, me, miam Ne un mini darelur, atque ut illi nuberet. te, minus. ur r-Laure. 5