mo PLAUTE. détache sa bourse de son cou, et me donne vingt mi- As!. Tn nfapprends là une agréable nouvelle nes. Je nfempresse de les recevoir, et je les mets Mais dis·moi un peu, as·tu... dans ma bourse; notre homme s'en va. Moi je me Straril. (l’inte7·r0mpam‘.) Un parasite peut- hâte d’emporœr àla ville nos brebis, transformées en être (I)? bons écus dans cette bourse. Il faut que le dieu Mars Ast. Tu as deviné à merveille ce que je voulais te soit furieusement irrite contre mon père, car ses dire. brebis sont bien près des Iouves. (ll montre la mai- SJMNL Eh! eh! Sais-tu bien qu’à force de venir à son des courtisanes.) C’està présent que je vais ren- lil !’îU€ jf! më Suis f01`mé· QUE .l`C¤î8¤dS \‘¤lU€¤` ëî verser d’nn coup ces amoureux de ville, élégants et que je suis devenu un paysan de bon ton, et assez musqués,etles jeter tous à la porte : d’abord il faut plaisant. que je ruine mon père et ma mère. Ensuite je porte- Ast. Tu veux dire ridicule. rai cet argent à celle que j’ai me plus que ma mère Stratil. Plaîsant ou ridicule, il n’y a pas grande elle-même. (Il frappe.) Holà! quelqnfun! n’y a-t-il différence. personne ici? Va-t-on m’onvrir la porte? Ast. Allons, mon amour, entre avec moi dans la Ast. Étes·vous donc un étranger, mon cher Stra- maison. bar, pour agir ainsi? Que n’entrez-vous tout de suite S¢`î"¤’îl— TÃBHS, V€¤X·TU des WS POU? Passe? 8**60 sans façon? pourquoi tant de formalités? n’ôtes-vous ïûî CEM ¤¤îï? pas de la maison? Asf. Miséricorde! des ads (2) ! quel est cet animal- Stmb. Allons., J’entre sans nul retard. là? Tu veux dire des arrhes. As!. Que vous êtes aimable! 5tr·aIiZ..l’éoonomise un r, comme les Prénestins, ‘ qui disent une gogne pour une cioogne (3). SCENE H. As!. Suis-moi ,je te prie. STHAT[LAX’ ASTAPHIE- wit; aiî¢ÉaIî €qgusg.attende c1Strabax, qu va re Stralil. (sans voir Astaphie.) Je suis étonné que Ash ll Y 3 longtemps qlmen est revenu? Il °St Strabax, mon j euue maître, ne soit pas encore revenu Chez n°lJS' _ _ _ de la campagne- Il Sem tombé dans les mm de la Strain!. Quoi! même avant d aller chez sa merei banc. le mallieuretix ! ' Ast. (à part.) Par Pollux, s’il nfaperçoit, il va ASL un GS desc pas çhangc? m’apostropl1er d`une bonne manière. ‘Slîam' le DE dis plus mm ·· _ _ .$`tz·at. (fapercevant.) Que voulez-vous, Astaphie? "t‘ Entre d?n,°’·l° œ p"°’ et d°m°'m?' le mam' .4.98. Coque je veux? me divertir de vos brutalités. MMM- ¥‘afv°m‘ §aP‘"":·)El1€m°°°"du'l =S3·¤¤ · Stratil. Je ne suis plus aussi sauvage qu’autre- auberge Un le Semi bien ma] Pour beaucoup d al" fois, je ne suis plus un rustre : ne craignez rien. gem' (Avec Pü·$`·*i0”·•) Pmleî ordonne ‘ moi ce (lun te farouche au second acte, était sans doute préparé par une seenequl plaira, je suis prêt à tout faire. Tai pris des mœurs ¤¤¤¤¤· <1¤¤¤ 1¤¤ m¤¤¤~¤~t<· ., · , · · · · · (1] Meuble indispensable à un jeune hommea la mode. nouvelles, Jai depouille mes vieilles habitudes : M H H, lmpommc de mdmœ Hammam la b"M,,,m que maintenant je puis aimer, et même avoir une maî- Plante met dans la bouche au paysan. tresse (I)- mîlptïpigramme contre les Prenestlns, qui parlaient un lattn cor- (x) (je changement subi! de Stratîlax, qu’on a vu st austère, sl Nuno ego istos mundulos urbanos amnsios .4.;:. Lepida, mecastor, nuntîas : sed die mihi, Hoc inlu exponam, nique omneis ejiciam îoras. } Huben’...? Str.- Parasitum te fortasse dioere. Eradicnre ’st oertum cumprimls patrem, As;. Intellexxsti leguide quid ego dicerem. ûost. id locorum matrem 2 nunc hodie ecteram 635 Str. Heus tu , jam , postquam in urhem orebro oonmoveo . Ad hnnc argentum , qnam mage amo quam matrem m¤¤¤¤· Dicax sum tactus , jam sum villator probus. und Tati eoqnis est.? nulla est? ecquis uperlt hou ostium? As!. Quid id est , umabo? islœcce ridicularin Ast. Quid îstuo alicnum‘st , amabo , mi Strnhnx : Cavillaliones vis fortasse dioere? Qui non extemplo intres 7 anne oportuitl Sh. Ita, ut pauxillum differat a cavillulls. lia te quidem , qui es iamiliaris? Str. llntur. 640 Ast. Sequere intro me, amabo , mea voluptas. Str. Teuc hou Ne me morarl oenseas. Ast. Leplde facis. Rabâm; mmm mecum ut h nc mmm se neo , n · 1 s. SCENA SECUNDA- 53;. l'.îîîlî.ïà’élî."à?.ë`l“Eîî‘;î ‘lEî?à"»l‘à'îî”"'““"` ' STMTILAX · ÀSTAPMUM Elzfgîqldîbélsbblsél:î·<;s!Sî;îë[ll·llxbacem helo obperiar modgî se www v*¤·=¤·w·=ii *··eë*··r¤ ·*"¤~ îl.,îlî,'l.lî.l‘ï‘.S;.î"T¢},’É 'lfllîîîÀ"î§Ci.2°Sd”î.î£îfmSLL“ÃlT‘.’§ ` S"“b'°°'“ "°" Mauss" ’ nm H clancumm Heu , edepol , hominem nlhill! As!. Anne autem , ut soies? C°“""““‘ m wc °°"'l'pl'l“'“b.î°”l"', m · M5 So-.1mo nihil dico. Au. I intro, amnbo , oedo manum. §‘,î"§È`.'iëJ’?.li‘.lÈÈî;t'J".È.’,'àîi.“l'I.î..‘, ‘.ià·Él§.î.'îî’Lî, 1,....... ia. se- T·=·~·= = M e¤=·•=-=·=¤ dw ^~·=¤°=*·m· ·’° Jam non sum Truculentus, noli metm-re. Ubi mah °d°lpm' mea mlm p°°'mm' Quid vis ? Ast. Quid? Iuam cxspecto Truoulentlom. l Str. Dic; inpera mlhl, quid vis , et quo vis modo. Novos omnels mures haben , veteres perdidl. Bao Vel omare possum , vel jam scortum ducere.
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