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""S°""""“' ACTE PREMIER 'l`HE¤ROPinE, fiche marchand. Pnmisqun, principal esclave ° Pnu.0|.Acnàs, son hls. _ de callldamate. Le theatre représente une pme. D'nu com la manon de nm- T¤^~··>~· ·=S·=1¤~= ·1~= P¤¤l<>1=·· ¤¤···¤·¤· *P¤**¤e¤e . mia.- ii. i-me tai. .1. sim. G ches. gnou, voisin de Theurogsde. . HUMION, villaveois, esclave. ïssnuïntuu, usurwrr . · Puxrnuacm, coiiurlisane. UN nsctave de Callldamate. I. Sc.iPHA, sa servante. Jeune 1:Scl.AvB. tlînàpœnmns. ml de Phî\¤- GRUBIION, TRANION. a es. La scène est à Athenes. Grum. (frappant à la porte). Sors de ta cuisine, si ——-— tu l'0SeS , peodard , qui au milieu de tous tes plats AHGUMENT ne me réponds que des halivernes. Sors de ln mai- atzribué à Pmscmn. son, flcau de tes maîtres. Va, si le ciel me prête vie, . . . . . . u l I _ ` - 'Philolaclies ayant altrancln unejetlne esclave |[\`l'll3"B1È tu"nc1î,lmyemS C Nui quanddnougscrûns .1a cam, achetée et dont il était amoureux, rlissipa tout son bien l Pac«nB· Mame une folse Sms (mc em Cmsmev mi? - , · . . · · ' l - en Pabsence de son pere. Le bonlrommr. est a son retenir Chant l'¢‘§0ûl· P0U\'€]U0| te CUC les lu? _ · berne par un valet, Trzmion , qui lui fait accroire que la Tran. (sortant bzwquenzzsnf). Ponrquot emes-tu maison est pleine dc spectres épouvantables qui forcent i!iI1Si à la porte de notre maison? te C1'0iS-IU Éll de Yahandonncr. Sur ces untrcfailes arrive un banquier qui plains ctmmpsygctjœqoî; retourne dans mn village ;
- °°l"‘“" ;A‘"lE'?h"*‘d1 ":g°“L ‘l“(îl " SW éua ml ° l°““° va te fzure pendre . eloxgnc-tot de cette porte. (ll lc
. 1 ‘· · ‘ r : · « . — '°""t‘° _ __°_"d€‘ M fis °"°°"‘ uw} . à °° C '“"“œ‘fv ° frappe.)He1¤1i!est—cela ce que tu voulais? on lut pttsua eque cet argent asutt acheter une autre Gram (criant) GM ïe, . Su. m rt. poum uni maison. lldernande quelle est cette manson . on lui répond [ 9 ‘ 3 Je IS 0 que cest celle du voisin. Il la visite. Il reconnait enfin mâ "'Pl’“‘l“· qo’on s`estjoué de lui. Néanmoins, il se laisse llécliir par un HV"- Parce que W le VEUX- _ A des amis de son üls. Gram. Patience... Attends que notre vieux maitre (x) ltegnard a fort gaiementimité cette pièce dans le Retour son dc rcmun Lmsse ven"' celui que tu lnangcs lmnv imprévu. Merlin, comme Traniun, hnaglnu wnrrütser le hun- dant SOI} absènce. homme Géronte à la porte de sa maison par la terreur des lutins. — ~ I · I . Le succès de la nomedie de Plante et de celle de licgnard prouve Tram Tu dis m’ lmiuvmse œrhsh une füusseté et que les histoires de revenants ou de diables plaisent au parterre · 11118 SOÈUSB Z BSt·(’B qll OI'! pêllt ll'l£1I]g€l` Illl Iil}SBDl P de toutes les epoques et de tous les pays. Cette comédie est d‘ail- GTMH Il œ sied bien bal eqprn de carrefour leurs plclne desprit et de verve. Les personnages en sont variés et , , ' , " " , ‘ tous également naturels. La scène n’|vre<sl· au x" note, celles du rc- llCltCBS de la Cïlllëllllü , (lü le lll0(]llÈI' LlB [HDI [)HI’(È6 venant et des deux vxcillarsts, le caractere de Pesclnve Trnnion et du ' ' I 1 ' ' bonhomme Tlzeuropidc, semblent tracées par lc crayon dc Molière. l qu? Je Suis de la Ca npagnî ' Tu Sms pourtant bien Un y trouve le vrai modèle de la Iourherie des valets et du la ore- qu OI1 Vit É y €l]\'0yOI.` l)lEI`tlZ0ll tOl1I`I}8I.` la lTl€LtlB. dulité des peres. ' ' ‘ I · (2) Cc nom donnèà un nsurlcr est une contre-vérité. Mysargyrlde [ Om ’ Trimmn ’ dans peu tu gwssiras le no utili, ,,ig,,m,, ,,,,,6m; ,;, ;·.,,,,,,;_ deshonnêtes gens chargés de fers. Mamtenant, pu1s· . - * .
AC'l`Ub PBIMUS.
l DRAMATIS rnnsoivzn. [ SCENA PRIMA. T¤r:*01~ s t Phlllhl du tl. · t’HlL`ô¥.ACill:·.§,, xilclnïscensli au si 1)x;r.1!i»iiU1l1, meretrlx GRUMHL TEA:" IO' Tnxwxo. Scrvus Pmlolachls. Sum), vicinus iltius. . . . . . Gxuzmlo, villicug, My5AM;yg;p;;_ Gïtlm. EXI Etîlllllth, SIS, IOIEIS, I'liEISlIg|a, §gxx.smA1·iupî¤. merctrlx. lsmnsrs. 1 Qui mi inter patinas exhibcs argutias. I . . · r Ins. . . . . . Ckîîïâjï ad,,i!.wms_ PÈHJS ° Egrutlere , herilxsperriicics, ex wdibus. Punxrscts , advorsitor Calll- Ego , pol ., te Yuri , si vivom , ultzlsûnr probe. Sum est Mhenm Ext, inquam. nlilor, e cultura : quid lates? · • 5 _; Tran. Quid tibi, znulum, hcic antoacdcis clauutallo ’st? »;._ ··"* An ruri cerises te esse? nbscede ab œdibus. ARGUMENTUM Abi rus, abi , dierecte , abscedc ab _liillllCt· U l Hem. (mm mxnm. ibloccme volulms? Grum. Pern! cur me (UT _ QUIBUSDAM YIDETUR) verbemsç PRISCIANI. Tran. Quia tu vis. Gram. Palinr 2 sine modo adveniat se- MANUBIIXIT cmtns snos nmnres Vhllolacties , _ n°x· _ I') Omnemquc absente rem sun absumlg par", Sme modo ventre salvom , quem nhseutem comes. Scnem, ut rerenit, ludinnatnr T1-nnlo; ] Tran. Nec verisimile loquere , nec verum , frulex, _ Tcrrüica monstra aitvidcri in zdibuv , Comesse quemquam ul quisquam nhsrntem possir-et. Et indu primuxu emigrntum: intcrvenlt Gram, Tu urbanus vero scurra , delicize popli, Lucmcm lœmls '°'“"'°' l’°"“l““’· Ros mihi tu 0l,~jectas° sane credo Tranio t6 Ludnsquc rursum iitsenex: nam mutuum uod t —n - L.- m` -5 t t ’ U Y ' Jdceptam dicit pignus emtis zdihus. e I pis `mu SCI ac u mp ai li"' [tequlrit qnm sint. Alt vlclnl prnxuml. Cls• hçmle •_PimœS œmpcsmtü • rmmœ lnspcctatillas = post, se derisnm dulct; A¤g€l>l5 ïlifl Uümfffüülv ECM]-S l€1‘FâUl€· Ab sui wdalc gnau cxotalur tamen. . Nunc, dum tibi lubct Iicetque, polo, perde rem,