Page:TheatreLatin1.djvu/359

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ne plus rien valoir. Tout mon édifice était pourri. Sraplz. Allez, vous êtes si jolie que vous n’avez le suis dans l'impuissance de réparer ma maison besoin d’autre parure que celle de vos aimables pour en prévenir la ruine entiere, et empêcher que les qualités. Les amants ne s'attacbent point à la robe toudements mêmes ne s’écr0ulent. Nul espoir qu’on d’une femme , mais à la personne qui la porte. vienne à mon secours. Mon cœurgémit, en sougeant Philo. (à part). Scapha est vraiment amusante! a ce que je suis et à ce quej`étais 1 nul ifégalait mon La coquine est pleine de bon sens. Comme elle con- ndrèsseà la lllilè, HU dleqllü, Èl la l3llC?, Zlll j3\’€l0l, Ã! Ilâll l)l8D les secrets , les pHSSl0llS des amants! la course , aux armes , a cheval. Je vivais heureux; P/iilém. Eh bien! ma sagesse, Faustérité de mes mœurs servaient de Sçaph, Qu‘y a·;.i|? modèle. Les plus parfaits me prenaient pour guide; Philém. Regarde-moi donc, examine si elle me maiotenantje ne vaux plus rien, et ne puis accuser va bien. que moi-même de cet avilissemeut. Soap}:. Grâce à votre beauté , toutes les toilettes q 1 vous vont bien. SCLÃE ill. Philo. (à part). Voilà un mot, Scapha, qui tc vau- dra au’ourd’hui uel ue résent. T ` Pn1LEMAT1e, SCAPHA, PHILOLACHÈS· fait wit mn mfge ai œfïg que j.air‘;c“ "“"" pas Philém. Jamais je n’ai pris un bain froid avec £JL’lé’”· Je PC veux Pasfllœ W WE [WES- mm de pjaisir; jamais ’je crois, ma chère Scapha , .-caph. Vraiment vous etes folle. Préfererlez-vous je [pm Suis Some aussi blamhp des nuensoiqres desobligeants a des vérités agréa- Scaph. Les événements ont favorisé toutes vos af· MES? Quan? ’ÉOLJ Mlle "HCUX Clfê ]0¤€€ S¤¤5 Püï- faircs, comme la moisson les travaux du laboureur. son qi"’ bI·‘m@‘î .lUSlBmCm· W Füïhüë [WU? mil iï~ 1*/zitém. Quel rapport y a~t·i1 entre une moisson gu"? _ _ _ _ ct mon bain; Pfnlcrrz. l\lo1,_|’a1me la vérité : je veux qu’on me Soap/z. Le même qu’entre votre bain et une mois- le dise? .1·¤*¤¤1§ IF mmsonëe- S0n(l)_ ocaplt. Puussu-z-vous m`aimcr! puisse Philola- Philo. (à part, regardant Pltilémafic). Vénus che? YOUS ’Èlmer (mmm (lue Vülls êtes Pelle! trop charmante! voila la tempête qui m’a enlevé le 1 /"[?·§’1!’É"U· Qlfë ‘I‘S‘t’~f lib ‘*¤(lU1¤‘¢?Q¤fl WEU mûllliûall de modestie dontje mïênveloppais, Amour ï)S’m î`·11ï_· (lim-*’° PÈIIOICZC/AES. vous (IL)7l€7`! di5·tu? et Cupidon iuondeut mon cœur. Je ne peux plus °‘"îfl“°1“@l°"’°S·"’ l’**S~}""·”‘€"L’0"~* <W·$¤`¢ /’<lî~ , " · ` ’ . · I — m’en garanur . les remparts de mon ame sont sub- â"°’î`T Je "“"€ m°“ P"“$°m Que le (`W te ‘î011f¤¤ merges; ma maison entiere est detrulte. 8, u as perdu ’J m“°ml’€ ***8 ¤1¤¤i¤tr·v¤¤s [11`0 1*/mém. Scapba , regarde donc si cette robe me mîù I , _ _ N ` ma imp Je veux pam ai man cher rlittaiaalès, m§“§î*· “°*"?€P* -16 K" *=*¤¤¤€_ *19 ¤¤<ï P€r5¤¤¤<= . » ’ l · ’ mon amour, mon hbüratcuh 1 neiauss instrutte, aussi bien elevee que U M N d t f I I 1 H vous, aussi spirituelle enlin, fasse des sottises. r . Bl! C êxpllllllë 0l’ llltlêll CUSCTDCD EC 9 comparaison: cette culture de la beauté nc produit-elle pas aussi des moissons aux coquettes ?

Ijmleuh Je te pme de mim Cm"` iludnd l,?" tm"?

Scaph. Ah ! Certes, vous avez tort de ne compter


Cor meum : nunc slmul res, titles , virtus, Madent jam in corde parieles : periere haa oppido aedeis. Deousqne deserueruut : ego sum in usu M5 P/ritem. Contcmpla, amabo, mea Scapha, satin’ mec me Factus nimio nequior : atque, edepol, ita vestis deceat? Hcec tigna humide puleut = non videor mihi Volo men plueere Philolachi , mao ucello, meo palrouo. Sarcire possc zedeis meas, quin totœ Soap/L. Quin lu te exornas morihus lepidis, quom Iepida Perpuluœ ruant, quin cum funtlamento tota es ? Porierint, nec quisquam esse nuxilio quent. l ISO Nam vestem amatores mulieris amant, sed veslis fartum. 170 (jo; d¤|gt_ quam soin ut nunc sum, ülqlle ul fuit Phzlol. lla me di ameut, lepidu est Scapha! sapil soelesta Quo neque industrior de juveulute crut multum! Arln gymuastica. disw. lleâîlë . P1l¤« Ut lepidc res omueis tenet, sententiasquc amantum! Cm-5u_ grmis, equo : vuzlllnhilm volllhër Philcm. Quid mmc? Scaph. Quid est’? Pltilem. Quin me Pursitnonizs et durlua rlrsclpllnœ alhs eram : Ibl Ins adspîcc et œnœmpm , ut mm mn dœch “ ’ .I . Il 1 1. · - · · · Opium q“’q°e HP’? imm il.""? dœtr `ami . . Swph. Virtute formcc id evemt, te ut dcceat, qutdquid hn- nunc poslquam mhxlx sum, xd vero maopte mgemo repart. mas. Philo!. Er«o hoc ob verhum te, Scapha, donabo ego pro- SCENA TERTLL feclo htodle aliqul : .n`ate’t tilld , l.tihl. P¤¤L¤•¤»=T1¤>·~S¤AP¤^· **H1L<>*·^¤**¤S· iïi::;:1.·î.t·.:. iE°.’âÉZ.tî.È`I.tîTî?S.’ÈL”Ã?’ §ïZ.lZ`t.. qui— · · . · ·»· - d m stulta es mulier. Pmlêqz,. Jamprulem, eoastor,l`r1gl<la non lnvl maars luhen Mm âavis vüupemrifalsq mmm wm mmm? ’ · . , ’lem, pol vel falso lumen Iaudari multo malo, Nec quom mn mehus mea Stapha, mar esseclefœcntam. Null Y ·| _ _ 1, _ . i i I Scaph. Fventus remis omnibus, velut homo messie ma- *6*;* °“ p°“·"“t a ’°;î;‘T0S§É’§F’m?E dïâda BM M ign iam. .g0Verum am0, V ’ I ll . c ru ruttç Philem. Quid ea messie ndtinet ud meam lnvationem? otll. _ _ Smph. Nihilo plus, quam lnvatio tua ad messim? P/lilo!. Soap}:. Ita tu me ames , Ita Plnlolaches tous te nmet, ul ve· Oh, Venus venusm! _ Iîlüîlü W! _ _’ d d, _ 7 _ mec ille est tempestus mea, mihi quœ modeslmmdomnem Plutot. l¤;¤·=¤1¤·}Q\1ld îllë. 5¤Pl¤S!n· ¤¤¤m¤ 0 6 J¤1‘¤hlx· lm Delexlt, lectus qua fui, quam mihi amor el. Cupi o Iego is am umarem . _ ’ _ · - i 1 , btp 9 g 0g· Quulistœc me? ul cur non anldllum sl.? I(ll€Cl&·d0hd faelo. lu PHP ul mmm ` mique Jam unqmm O S Il pm; Perilsli! quon promnscram tllu donum, pvruldrsu. aux