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I LE REVENANT, ACTE, Ill, SCENE ll, 347 moissonne pour soi. Si nous avions fait un man- Tlzeur. Je ne crois pas cn avoir jamais vu de vais marché , nous ne serions pas maîtres de le rom- plus beaux. pre. S`il y a du bénéfice , nous devons le garder. Sim. Par Pollux , ils m’ont coûté assez cher au- 1`ran. Cependant Fhnmanite veut que l'on soit trefois. Lonipatissant. , A · Tran. ( bas à T/teuropide. ) [ls m’ont coûté, l/teur. Tu m arretes avec ton bavardage". lentendez·v0us? C’est à peine s’i1 retient ses lar- I'2‘an. Suivez-moi. · mes. îlslzeur. volontiers. Je suis à ta disposition. Thcur. Combien les avez-vous payés? F Iran. (0 Simon.) Voici le vieillard 1 _]6 YOUS Sam. Trois mineslosdcux, sans compter le t1’3IlS- amene. __ _ V _ _ ' port. ..5zm. (a ïlœuropzde. ) Je suis charme, Theuro- Theur. (les cxraminant de plus près.) lls sont pide , de vous voir de retour en bonne Santé! pourtant moins bons que je n’ai cru d’al>ord. T/teur. Que les dieux vouS Soient propices! T ran. Pourquoi? Élu:. cet esclave ut a dit que vous voulez \‘lSll€1` T/tem'. C’eSt qu ils sont tous deux rouges de vers ce e maison. ] b _ A par e as. Ãh‘?""· $1 œla M "0\}$ QEM lm- _ _ Tran. Le bois aura été coupé hors de la saison. _~§ï*"· Bien au C0¤U‘¤11'<>» M60 Pl¤1S1î`; €¤ï1‘9Z· Et Cest la cause dn mal. Mais ils dureront encore visitez. I longtemps en les goudronnant. Car ee n’es‘t pas un YT/L6""- MOIS lœ fOlf1m€S··· gagne-denier, tm méchant ouvrier qui les a travail- Sam. Ne vous mqtnetez pas des femmes. Pa1·con· lès. Regardez un pen ces lambris! rez la maison du haut en bas, comme si elle était y·;wm._ Je vois bien O ‘;;‘î· T Comment C 8 _ Tran. Comme toutes les pièces s’embrasse`nt ¢ O - » 0mm Sl ···· étroitement! TM"- (WS à Tk€w'0Pïd¢-) NOVTÈOZ POS SOS l`O‘ T/teur. S‘embrassent' · I ' 1 Y r Il W ‘ . . I · · Sms OO lm 'OPPOIOW GOO VOOS 1 O‘Oé OO MOO ·· Ne Tran. Je voulais dire, s’nn1ssent. (Luz montrant voynzwous pas la trlsîe figure du bûîllïümmü? la maison,) Ètes·vous satisfait? gfîâ"- Éb(î83)N9;1· lâ VOIS ···- 1, _ d 1 I Timor. Plus j`examiue en détail, plus je suis . · . yez one pas air e e mo ester chûrmé par trop d’empressement : ne lui dites mot de l’ao- , ' . quisition. 1`nm. (montrant le plafond.) Voyez les pem- Thcur. Je comprends : le conseil est sage, et Luîshîegîgîez câmt comedie Sg louînà de (Yeux . . · . l montre tes bons sentiments. (.4 Szmon.) Eh bien? 85 X luneîîî llwt SU5 ies gar [38*; ÉFDG ml" __ . . . . . . [ - _ ·. sm., im mm anim, examine; a loisir, et mm O °“'" ‘î“ 'O O "O“PS ° **9 °“’?‘“‘ qu’il vous plaira vous de mon cote , je vous prie, afin de bien voir la ` · ` l ·i l * - P Them'. Oh ne peut y mettre plus d’0h|lge;mcB et Cûmëll 6 HG m la vo) en vous, l d 1-. Them'. (regardant en l cm'.) Je ne vois pas du e po 1 esse. d _u __ n . u I I Aim. Cest bien mon intention. mnt 8 come 8 _ I _ TTGM (à Tlllcüïopîde.) Voyez-vous ce vestibule Tf’072·· MOTS 1‘0gHl‘(l8Z de Votre cote; puisque devantla maison? et cette galerie? que vous en semble? T}l·€ll1`. l`ÈlîlgDll'lqI1B üSSLll`É(I'|€l1t. (1) On onmà)renil”;1’abor<;ll’allégo;ie. La corneiille rusîc, c'•:st . · . ‘_ T · 'n ;les eux caux ancs, c auves et avi cs, re r sente L _ T, an' Tülez? voyez ces lambagcs ° quelle Soh pilrllaltzment les deux vlelllardsnnais le bonhomme Thehropidc lle (lite! quelle Cp8lSSeUI'l comprendra pas Dlus qn'il ne verra. Furenl., nobis islas redhibcre hand licercl. Tran. \iiden’ vestibnlum ante aaleis hoc? et amhnlacrum Lucri qnirlquid est , id domum trahere oportet. quomsmodi? Tron. Misericordiam tamen habere hominem oportel. Thom-. Luculentum , edcpol, prolecto. Tmn. Age specta , T/teur. Morare, hercle, qnom verbe facis. Tran. Subse- posters quojusmodil 810 qnere. Theur. Fiat. 705 Qnanla lirmutate fact1?et quanta crassitndipel _ Do tibi operam. Tran. ( na Simenem.) Senexillic est : hem ad- Thaur.1 Non videor vidlsse posteis polchriores. Sam. Pol, duxi tibi hominem. mi ni Sim. Salvom te edvenisse peregre gaudeo , Theuropides. _ ilo pretio emli fuerant clim. Tran. Audin‘, fuernnl, diœrcî) Th. Diteament. Simalnspicere le œdcis has velleaibat mibi. Vixvidetur couhuere lacrumas. T/mur. Quantihosce cmrras) Thcur. Nisi tîbiinconmodum ’st. Sim. Imo coumodum : i in- Sim. Trois mmas pro istis duobus . prœter vecturam , dedt. tro, atque inspice. T/ww. Hercle. _qum mullnm mprobiores sum quam a Thcur. Atenîm mulieres. Sim. Cave nt ullam üoccllaàigg T prirëo crcdidër? Th Q . d 1 D be neu; mulierem. ran. uaprop cur. nia, e epo ,am o a in mo Qualihet perambula aedels oppido tamqnam tnas. _ termes secs!. I I n · Timor. Tamquam? Tmn. Ah cave tu illi objecœs nnnc m Tran. intempestives excuses credo , ld_e1s yiuuin nocrt : œgritudine, Atque etiam nunc sans bom sunt, si sint nndueti pice. Te has emîsse : non tu vides hunt: . voltu ut trîsti est senex? Non enim hœc pultifagus opifex opera fecit barbarus. 829 Them-. Video. Tran. Ergo inriderc ne videare et geslire Viden’ eoagmentâ m torlpns? Theur.·Video. Tran. Specta, admndum; ` quam are e ormiun . Noli lacere mentiom-m te emisse. Theur. Intellego , 805 Theur. Dormiunt? Tran. Illud quidem. ut connivent, vo- }lt bene monitum dnoo, atque tejcxîstumo hnmano ingenîo. Iul dicere. Quid none ? Sim. Quin tu is intro, atque oüose perspectas, Satln’ babes? Theur. Ut quldque magls contempler, tanto ul lubet? magie plaoet. ` '1`kcur. Bene hcnlgneque ariiitror tc lacere. Sim. Fnetum , Trnn.Viden’pictum,ubiludilicatureornix unavnllurios duo? cdrpol , volo. Comix adslal; ea vollurios duo vicissim vcllical. 816