36 4 PLAUT de lenteur. Voyez combien de temps ilsme laissent Pan. Faut-il pour cela enfoncer la porte? attendre et heurter! Etes-vous occupés à dormir P Gel. Grondez vos gens ; e’est leur faute. Je venais (redoublanl les coups.) Péprouverai qui a le plus de savoir ce que vous me vouliez : et vraiment cette force , de la porte , ou de mes pieds et de mes bras. pauvre porte me faisait pitié. .|e voudrais que cette porte fût traitée comme un Din. (à parl, ironiquement.) Aussi lui a-t—il esclave qui s’enfuit. Je suis las de frapper. (à la por- promptement porté secours. te.) C’est ton dernier moment. Plm. Qui parle donc si près de nous? Gel. (à part.) Il faut que je Faborde et queje lui Din. (Test Dinacion. parle. (Haut.) Je te souhaite le bonjour. Pon. Où est·i| P Din. Bonjour. Din. Tournez•vous de ce côté, Panégyris , et lais- Gel. Est-ce que tu te fais pêcheur? sez là ce misérable parasite. Din. Combien y a—t-il de temps que vous 11,3VCZ Pan. (lui imposant silence.) Dînacion! mange? l Din. Cest le nom que m’ont laissé mes ancêtres. Gel. D’ou v1ens·tu? que p0rtes·|;u la? qu’est-ce Pan. Que fais-tu ici? qui te presse? Din. Vous me demandez ce que je fais? Din. Cela ne vous regarde pas; ne vous en met- Pan. Pourquoi ne tele demanderais-je pas? tez point en peine. Din. Qu’ai-je à démêler avec vous? Gé!. (montrantlepanier.) Qu‘y a·t·il la-dedans? Pan. Tu prends un ton bien impertinent avec Din. Quel scrpentavezwous devant les yeux (1) ? moi, mauvais sujet... Explique-toi promptement. Gé!. Pourquoi tant de colère? Din. Ordonnez donc à ceux qui me retienuentde Din. Si vous saviez un peu les convenances, me laisser. vous ne me questionneriez pas ainsi. Pan. Qui te retient? Gél. Puis-je savoir de toi la vérité? Din. Vous me le demandez? e’est la lassitude Din. Oui , et la voici: c’est que vous ne soupe- qui m’encl1aîne tous les membres. rez pas aujourd’l1ui. Pan. Elle ne retient pas ta langue , du moins. . Din. Je suis venu du port en courant toujours... ct SCENE H- cela pour l’amour de vous. Pan. M`apportes-tu quelque bonne nouvelle? · k PANÉGYP‘lS’ GLL^S‘ME· DINACI0N' Din. Je vous fais part d’un bonheur qui passe Pan. Quidonc, s`il vous plait, brise ainsi cette TOUWS V05 €5t¤¤1`¤¤<¤€S· porte? Où est l’impert1nent... (à Gélasime.) Est-ee PW- J3 $¤1§ Still)/E8! _ _ vous qui vous conduisez de la sorte? venez-vous Dm- Et m01·J¤ IM mullfëî la fatigue 3 êp¤1St¢l3 chez moi en ennemi? m0€ll€ de m•î‘§ 05- _ céz. (saluant Punégyris.) Bonjour, je me rends à CGL Et mol donc . pauvre mallurureuv, à qui la vos Ordrggl faim a dévoré la moelle de Pestomael ' - 9 (1) Il lot demande s’iln’est pas en delire. Les serpents étaient les pcf);" Qui as tu rencontra un-mais aes runes. Dm. Beaucoup de monde. Nlmis imc res sine cum gerituu vide, quamdudum lxeic Gel. Tuos inclama, tut delinquont : ego, quid me velies, adsio et pultol vîsebam 1 Somnon’ operam datis 7 experiar, forets, au cubitl, an perles Num equldem barum mlserebat. Din. Ergo auxilium pro- plus valeant. pere lntum ’st. Nimis vellem hœ foreis herum fuglssent, ou causa ut habe· Pan. Quisnam heic loquitur tam prope nos? Din. Dinacium. rent malum. I Pau Uhlis est? 'Dcfessus sum pultand0· 310 Dm Respice me, et relinque egentcm parusitom, Page Hoc postremnm est vobis· tà)'f Bau Gel. lbo atquc hunc conpellaho. Pan. Dlnactum! Din. Istuc indidere nomen maiores mlht. gnivas sas. Dirt. Et tn salve ·°¤u· Quid agis? Din. Quid ngam, rogitas? Am. Quîdni Gel. Iam tu piscalor factus? rogitem? Din. Quid mecum est tibi? Din. Qnampridem non edisti? ais Pau. Mein’ tastidis, propudinse? eloquere propere, Dina. Gct. Uncle is? quid fers? quid festinas? _ cium. Bin. Tue quod nihil refert, ne Dm. Jube me omlttere igitur Iios qui retinent. Pan. Qui re- Cnres. Gel. Quid isteic inest? tinent? Din. Rogas? Din. Quas tu vides oolubras? Omnia membre lassitudo mihl tenet. Pan. Linguam qui· Ge!. Quid tam iracundus? Din. Si in te $20 dem - 335 Pudor adsit, non me ndpelles. Sal scio tibi non tem-re. Din, Ita celeri curriculo fui Gel. Possum scire ex te verum? Proprrc n portu, tul honorls causa. Pan. Ecqutd adportas Din. Potes : hodie non cœnabis. Iioni? Din. Nimio inpertior multo tanta plus, quam speras. Pan. T D _ Salvn sum. SCENA SECLN A Din. At ego perii, quoi medullam lnssiludo perbibit. p\Nl;GYmS’ GELÀSlMUS’ ])]NA_C]UM_ I Gel. Quid Ggù, quoi mlB€I'0 medtlllam \'Bn!.1‘lS perccpii fa- A A HIES? Mtl Pim. Qnisnam,obsecro, has frungit forets? ubl est? Pan. Ecquom eonvenisti? Din. Mullos. Pon. At viruw 'l`un’ ltaec facts? tun' mihi huo liostis vents? 326 ecquem ? Din. Plurintos; Gel. Sulve, tuo arccssltn venlo huc. lim. Een' gmtia forets Verum ex multîs ncquiorcm nullum, quam hic cs!. Gel. ecfrtnjo ? Qnomotlo ?
Page:TheatreLatin1.djvu/391
Apparence