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Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol11.djvu/63

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aux fenêtres des maisons, d’autres se pressaient dans la rue. Dehors, près des chariots qui devaient emmener les blessés, on entendait des cris, des invectives et des coups. Pierre offrit sa voiture à un général blessé qu’il connaissait et vint avec lui jusqu’à Moscou. En route, Pierre apprit la mort de son beau-frère et celle du prince André.