Pour ceux qui n’appartenaient pas à la religion juive, et que rien ne pouvait convaincre que Jésus était un véritable envoyé de Dieu, les affirmations de Jean concernant Jésus, si même elles furent dites, étaient complètement inutiles.
Les versets : Jean, i, 19-34 ; Matt., iii, 16, 17 ; Marc, i, 10, 11 ; Luc, iii, 21, 22, ont pour sujet l’affirmation et les preuves que Jésus-Christ est le fils de Dieu.
Jésus-Christ était-il le fils de Dieu, selon la conception des Juifs, c’est parfaitement indifférent pour quiconque n’est pas Juif. S’il n’y avait pas d’autre témoignage de sa filiation divine que la voix d’un inconnu, entendue il y a 1.800 ans, cette tradition de la voix céleste ne convaincrait personne. Or pour celui qui a compris la vérité de Jésus et sa filiation envers Dieu, comme elles sont expliquées dans le premier chapitre, les traditions sur la colombe et la voix du ciel sont au moins superflues.
Τῇ ἐπαύριιον πάλιν εἰστήϰει ὁ Ἰωάννης, ϰαὶ ἐϰ τῶν μαθητῶν αὐτοῦ δύο.
Καὶ ἐμβλέψας τῷ Ἰησοῦ περιπατοῦντι λέγει· Ἵδε ὁ ἀμνος τοῦ θεοῦ.