Cette page a été validée par deux contributeurs.
vivre, et d’ailleurs ils vivaient absolument sans rien faire ; ils se faisaient des visites et se promenaient par groupes. » « … Chaque fois que je leur faisais remarquer la sottise de leur refus de travailler, ils me répondaient invariablement ceci : « Si l’envie m’en vient, je travaillerai ; sinon, à quoi bon me forcer ! »
Le savant professeur considère l’état de ces personnes comme un cas caractérisé de psychopathie, et conseille au Gouvernement de prendre des mesures pour en éviter la propagation. Il termine en disant : « Cette épidémie est comme le cri de douleur d’une population malade qui prie qu’on la délivre de l’alcool et qu’on améliore ses moyens d’instruction et sa condition sanitaire. »