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cer ensemble deux grandes nations dévouées à la cause de la paix. »
Ici encore, sans raison, ces deux télégrammes parlent de la paix, qui, en réalité, n’a rien à faire avec les fêtes données aux marins.
Il n’y a pas un discours, pas un compte rendu, où l’on ne dise que le but de ces orgies est d’assurer la paix de l’Europe. À la fin du dîner offert par les représentants de la presse russe, tout le monde parle de la paix. M. Zola qui, peu de temps auparavant, écrivait que la guerre est inévitable et même utile, et M. de Voguë, qui, plus d’une fois, a exprimé la même idée, ne disent pas un mot de la guerre et ne parlent que de la paix. On ouvre la session de la Chambre par des discours sur les fêtes