Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/123

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

VIII


Vous pouvez imaginer dans quel état d’esprit se trouvaient les témoins de ces déplorables scènes quand ils se revirent le lendemain de cette cruelle journée : la consternation était peinte sur tous les visages ; la mort était dans tous les cœurs ; c’était le commencement d’une agonie qui devait, à chaque instant, devenir plus douloureuse.

M. le Dauphin, malgré sa jeunesse, qui l’empêchait de sentir toute l’horreur de la