Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/153

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« Le 11 août, à cinq heures du matin, madame de Tarente et moi, nous rappelions mutuellement les terribles scènes de la veille, quand nous entendîmes frapper à la porte de notre chambre : c’était mon frère…

« Il avait passé la nuit aux Feuillants près du Roi, et venait nous en donner des nouvelles.

« Il nous apprit que la Reine avait demandé à ma mère que je vinsse la rejoindre{{Corr| que|,