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Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/174

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XII


« Nous étions depuis près de quinze jours dans ce triste séjour, lorsqu’une nuit, vers une heure du matin, étant toutes trois couchées et endormies comme on dort dans une telle prison, de ce sommeil qui laisse encore place à l’inquiétude, nous entendîmes tirer les verrous de notre porte ; elle s’ouvrit ; un homme parut et dit :

« Mademoiselle de Tourzel, levez-vous promptement et suivez-moi… »