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Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/25

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I


C’est pour vous, mes enfants, que j’ai rassemblé ces souvenirs qui, plus d’une fois, ont rouvert dans mon cœur de cruelles blessures. Je crois, en effet, comme mon fils l’a pensé, qu’il est bon que dans chaque famille on prenne soin de redire à ceux qui vous suivent les événements auxquels on a pris part, ou même qu’on a vus d’assez près pour en parler avec l’autorité de témoin oculaire.