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Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/254

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XVI


Au moment où j’achève le récit de cette partie de ma vie, j’éprouve comme un sentiment de délivrance. Il m’a fallu, mon cher fils, toute la tendresse que je vous porte, pour me décider à recommencer par la pensée ces tristes années où mon cœur a eu tant à souffrir. Ces tristes années sont cependant les six années de ma première jeunesse. Plaignez ceux qui ont été jeunes de ce temps, ils