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tuer fût le désir d’échapper à la mort dont il les menaçait, ils furent obligés d’adopter une politique de clémence et d’humanité.
La journée du 9 thermidor devait ouvrir les portes des prisons ; nous vîmes sortir beaucoup de monde avant qu’on nous apportât l’ordre de notre élargissement. Enfin la liberté nous fut rendue.
Deux mois de prison à la Bourbe ou Port-Libre, cinq mois de prison aux Bénédictins anglais, complétèrent sept mois de prison à ajouter à ceux que nous avions déjà subis.
Mon frère recouvra en même temps que nous la liberté, et ma sœur, madame de Charost, nous recueillit dans sa maison.