Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/314

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chers de ma vie, c’est sur le nom vénéré de la fille de Louis XVI, dont l’amitié a fait le bonheur et la gloire de ma vie, que se fermera ce récit.





Ici se terminent les récits obtenus de madame de Béarn. Je n’y ai rien changé. Je n’oserais y ajouter un seul mot.

Si ces pages retracent de bien hautes et de bien touchantes infortunes, la vie de madame de Béarn, dans laquelle il m’a été donné de lire, m’a révélé bien des vertus.

fin