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Page:Tourzel - Souvenirs de quarante ans, 1861.djvu/328

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jours de suite dans un salon d’attente. — Elle est enfin admise. — Elle obtient la révocation de l’ordre d’exil. — Paroles sévères de Napoléon. — On se trouve réuni après quatre ans d’exil. — On passe en famille les hivers à Paris et les étés à la campagne jusqu’à l’année 1815. — Symptômes de la chute de l’Empire. — Invasion. — M. et madame de Béarn se réfugient avec leur famille au chàteau de la Rochebeaucourt 
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XVIII

Le bruit du retour de Louis XVIII se répand. — Madame de Béarn croit être le jouet d’un rêve. — Bonheur inespéré. — Elle court à Bordeaux, où l’on annonce l’arrivée de la duchesse d’Angoulême. — La princesse n’y est pas. — Madame de Béarn revient à Paris avec une lettre du duc d’Angoulême. — Elle court à Compiègne. — Elle loge au château. — Le roi et la duchesse d’Angoulême approchent. — Attente fiévreuse. — Effet produit sur madame de Béarn par ces deux mots qui évoquent le passé : Le roi ! — Cri de la princesse en revoyant son amie : C’est Pauline ! — Tendres et douloureux embrassements. — Accueil bienveillant du Roi. — Entretien prolongé. — Épanchements affectueux. — Bonté de la princesse. — Elle veut que madame de Béarn lui présente sa nouvelle famille. — Dernières paroles de la princesse : « Vous me mènerez au tombeau de mon père. » 
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XIX

Description de l’enclos de l’ancien cimetière de la Madeleine. — M. Descloseaux, propriétaire de cet enclos. —