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, , 1 •. ’Ji • . 1 ~m.~it quec’eft ~n4ffi :ll1it qu~ lui fait (a mémoire.. ..· •. , AfFUfT,Cm.CequiGttlpoinœrlecanonquaDèlonJetiœ, au . ’ . ·..._ :._.....·.·_c,..._ : .. ·.··~·, ~ .. ’ :·cAf·F .. R,.( ?NTA.IL·L···_·~~ :; ~ f.,,pl.ùs·C(Ïnfins.· de,plùfaa.blds_.. à. ·} .eaan !i .. ~~..· . . ~-.. lJiç !···/ .igrle,····· . . -. e..p ..·~.i.P.-,flll-

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·-·· ~ . •.abouu !làns aux co~ezd’un· ~fon~~ ;. . . nmmiiiRI,/tJ./ibttllu-.-wbiRtlltiii.L’If/#td’un~ndenavire,ou · /.’.~..o/. :··~.=. :~.~~.·· _ ...~.’-.····M.·.fR.ON.TER.·, v~..~· aâ ;.·•• ;rram. mnper.· lj~elqu’~ malicieufedè ~.~mdœxro~~iais ;d’anefeule. pièce _ :·.~·".. ;:, · . •men_t,6nemept ,d ùne•mamereballë,ru(ee, maligne ,&fOus ~bois. L’4'111 d’un canœ qw va en campagncœitlifle eri · · · · ··. ·.... · ·

·pr~atede l>o~ne.foi ; .foit ehlui-fuiillnL_q~~ · ts

. fatœsrouës,_qaipom :m_deux~& :fortcsPièœsclo ~-----"-7~··· ,}l,u’on -n’ap :tsdélfeind’acquitef• ; foi(en lui vendant une marcbarpente, .qll’on nommej4frpt_eJ, danSlefqudlcs df comme ·· ··

gagJi~fi
. Fr.utd !lrt • dtfriiiiÛI’e. Ge Banqueroutiét Pibewiki (d) enchafl !le canon,quiû
mew :farfes ~comme fur un

ji :.1<eùC pèrfonnes. foqs l’apparence qu’il avoit d’êtti Iiche.. Ce centre en équilibre.. On y .aioûre un aam-aain compo{é de 1 i J 1 · Changeur m’a lljfionté, il m’a donné 4e la monnaie qui,dl : dm1maincfrenou&, quand on le&itmatc.ber. Les mon :iérs f.u ;lfe. n m’aaffi :omédedix piiloles.. ABLA Jll c. . ont anfii leurs affiîts. dom : les roaës font CXJmine édlesda ca-P 47 des çoncujfions fatales À /4 Frinxe . ." ·[ !’4 Mjll’lÛIJgt fois affronté/a potence. R ui. nons des vaifièaux,ou des caiëmares. . AfFufT’ D .t . BoRD, dl : lemqu’on donne aux .cfftits des ca.. nons qui f’ervenr far les vaillèaux. . , · AfF ufr ,entèrmede challè,dl :ll11lieucaché,oùonfemcravec ’ Vois m pales joueliTs , qni pleins d’./xtr.WII[ ;Ifm.t , iii dle ’ Du dfjlin infolenr affrontent l’mc~e ; - 1111 fu tout prêt à tirer • & on atten gibiérau pallàge. Ve- [t .. J’

r.

ç_, llltflrisÏI ?JÏili4,fptadA. . Et ttr trois dez. mauum li1em fatrit ;M.. , OnditfigQrémclit, qu’anhcmrnedl :àl’6jfor ,quand ils’dl :at’ !ité J.2 !.ti !er condamnent enfin d’aller 4 fb6pii.J. ID. quélqtte panpourérier-lepal !àgede quelqu’Gnàquiilveu[par-’ A f fRoNT E~,j,fe dit quelquefJis enl>onnepart, des braves qui 1er, ou uneoccalion favorable de faire quelque affaire. Efe in , .ne craignenr·poim de s’éxpotcr dans les occafions honorables. fpeculis, in infoliit. Hoftem.adoririfortiter, adireperiadA. En-ce fens il feditdescho- AfFU TAGE, f.m.Soingu’on prendducanonpourlepoincer, fes auiJi-bien que des r.èrfomies, & lignifie, Faire front enattale difpofer à tin :r. T rmnmti bdl~i IIi nlijfi.nem ’ " ’[UITMÜ. qÙalithardiment,ens’éxpo !àmaveccourage&a,’ecinrrépidité. Afrufr A GE~ fe dirauŒ chc :z les Ouvriérs,d’unc : garnirure & Les deux aimées s’~tJJ’rontèrmt •èrriblemenr. ABLANC. Aléun- . proviliqn de COQS outils dont ils ont befoin. Omnùr illtÙ 6/i>,Yus d re allait affronter fes ennemis en plein jour·& à découvèrt. :Vous injfntment11 , [upelùx. On ~dit encore des pièces qu’on appl.iallez de la mort llj[ronter la préJênce ; RAc 1 N. Où .eft le foldat que aux fontaines jail~iflàmes pour~ ~vèdilier le jet. quin’lljfronte pasledapgeren préîencedefonPrince. AliLANC. AfF UfTER, v.aéè. Dilj :.oferlecanon a nrer ,lemetm :enmire. A fr R o :n ER, en tènnes deBlafon, Îe dit desanimaux~font Tormentfn !Jd emijfimne difp.nere, fdnATe. . polezvis-a-vis.I’u :J de l’autre, dom les têtes fe reganknr dans AfF u f TIR. , l ignifie aulli drz·les ouvrién, Aiguifer fes outils. .unEtu. Deux lions ajfrolitR., font ceux qui font front contre Acune e=uere · · · fro’m. Î1eminileones4dverjis frontibru piili. On le ditaufli, AfFuftLü,adj.’Onditqu’una.rtiJànrdi.orffiltlde[ousfcswquand il n’y a que leurs têresamJÎ d,fpofées. On le dit même, rils, quand il aprèsde !uit ?IDœux~ila~oin~IUrravailquana ils font en des quarnns différens, encore qu’il y au 1er. Comp.tratus lib ~IPII !Ïinu mjl11mzemzs, lib 0111111 IITtiS fupelleltik. d’autres pièces encq :deux. ll portait à’or à deux lionstrjfrmuz. Af .FufTÉ ,fe dir auffi figurément d’une pèrfonne qui eft venuë de gueules. préparée & difpofée à dire ou à faire quelque cholè. Meditllhtt. A fF.R 0 NT ERIE, f. f. Trom ?~rie. Fraus, friiiiÛtw. Dy a lis étoiemcroisou quatrduges.tfflltez.pourfairegagnerle pro. un très-grand nombre de gens qui ne vivent que d’af{rollterie. cès à cet homme-là. -Sèrvez-vous rar~enr de ce mor. A pparemmi :nt que Îa relfem- Nicod d~ri ve tollS ces mots de fit}lis, biton. blanceavecéffi :onterien’a pas peu comribuéàlebannirpréfque ’ de l’ufageordinaite. · · AF1. AfFRONTE UR, E USE,adj. & f. Quirrompe,qui ::lfronte. AFICHIER & AFICHER, Vieuxmot,qui vpudire,Mt"-Fwid. ttor, [ycophant 4. Paris dl : plein de devins , de donneurs cher, meure fon 11ppticMÏDn. . d’avis, de fau ::chiini !’œs, qui font tous des gueux, des filous& · des 41Jronmm : • · Celuïqui en tré{fiTt s’a6che. R . DE LA R. AfFUBLEMENT., (m. Voile, vêtement,habillement ; tout Le Clltr tjien nul afiché. 1 ce gui couvre, cache, enveloppe ! a tête, & lecocps. Ve !.tment11111,

4miétu.r . ’Ce mot ne peut avoir d’ufagequedansle cdmique.,

AFIÈR T, Vieux mot, qui veut direCo1n1ient • .tppartient. Voyez AfFUBLER, v. aél :. Cacherfatêre&foncorpsparquelquesha-Borel, Nicod, le Songe du Vèrgiér, &lesSCUlceséhrétic :nncs.. ’ billemensquicouyrentjufqu’auvil3ge Amiâre,obregn-e , invol- OÙ ihft dit, · ’ vere. Les Mo.ines·& les H~ress’affu !J/emd’un&oc.Dansles F. :.itts à m01llft :t.i’h01111l111’ cérémonies des obfèqrœsdes Princes, les parens font 4fub !R- de f !.ui afiè :rt à rel Seigne/IT, grands chaperons de deuil. Cerre femme éroit affab !ûdans fa ’ cappe pour. n’i·rre pas connuë. Il yaddxms Auteurs qui préten. Borel.dit qu’affmir veut dire appartenir.’ , d,enr quelle mord·~tjjitb/an~ell :plus en ufage que pour figni6er ; AFILIA TION, f. f. Tèrme Gaulois, qui lignifie adoption, 1 fe couvrir, fev{ :rir ,.fans a1•oir égard à la rêre. Au mOins ell :,.il Cerreéfpèced’adoprion fe pratiquait entre lesRoisi& les grands ,’ cènain qu’étre 4fubléfe uouvepour hre couvètt, étre vêtu. Seigneurs. flle fe faifoit avec des. cérémonies militaires. Le père préfentoit une hache à celui qu’il adoproit pour fon fils ;& - - -Liliâùidie ile ÙIITsilaltts · c elafignifioit , qu’il vouloir qu’en fuccédant àlès biens, il les Eft a.ffubléd’lcariMt. MA 1 N. conferv~t par le gla.ive. . · , 0 nt/il efl md ;trn,_ ,.,, Apl L l AT 10 N’dl : auffi un renne de Religieux’ qui ligni6e la 7 J’ 'l>__,___ communication qu’un Ordre Religieux faj[ à quelque maifon . Affublé d’~tnt_fouto~ne ! l.o. , . pat :riculière~ de tour ce que l’Ordre a de plus làint & de plut Nicod dérivecèmot deinfo/4,qui ftgnifieaneanciennecoëtfu- . pttci(ux. C111111111t11ÎtMw. re. On dit encore en Picardie, ~ ;pour dire~fe~, A~ IL lER , v. aél :! Tèrme de Religieux. C’dl : faire quelqu’un ôter fon chapeau. Du Cange 1~ dérivé de lljfi/nlhre, mor dela · pànicipa !U de toU[ ce qu’il Y a de plqs làint dans un Ordre. -~~_ :_--’-'---4br.tafffh.., ;,.-Jiaa :ricicnm :it’r :é ?"quui-i>eiÏteCirrur-dde :(i !mk :ÇétO~t une ~de ou a~ C•lfiiiiiD1lç.t~e. ’ :oyez ~F~ IL 1.~R. . 1 • · fè’ :'ant à attacher les habits lonSS ; qm ~OUVIPI~t&.enYdo~ AF~N : ·Conjonébon qw d~c :ce ! mr~ !IO~, &lignilie,~our,à pmen(routle corps ; comme on àditckvt,&Lrti-û.n~t, dcs"Vedélfem. Ui, d~. ~lle~lhOUJours (u’ :"u ;.d ~ ’ft, ou d un q•~. remens honorables ainfi attachez.- · . . ~delle ell : fuiVJed onde • elleregu 1mfirunf : Cer Abbé pte-Oü dit au_figuré ayecle p :o~om,pèirC ?nel,s’~Ierdequdqu’un ; ch :: .ifin d’ ?~ir un ~vêc~, ~de ~rvenir. à ;I’Épifcopat. Je : pour d1re , en erre coelfe & entere, ne v01r qûe-par fcs yeux , fws venu ta .tfinde vwderd ;iff"aitt. Faites, Seigneur_, qqenous n’entendre que par fes oreilles. Effemjiudw 4/z’çll)lls viri’.ua rei. connoiffions fa briéveré de nos jours , ’ !Jin d :acquérir la &gêllè LesDifci pies de Platon étoien[ >tffitb !t%-des opinionsdeleur I ?~Î- du cœur. ~~R.T-R. ?t q~nd cette COIIJariéOOil ~ fuivie d’un tre, Les gens •roibles felailfent ailèrnenc 4fitbler par d~ Dirèc~ que, elle regtdefubJOnélif : Afin que vous. ymeruez ordre. Afin te urs’ & par des flaceurs. Ce mot ,en quelque fens qu’on le pren- ~e je voye la __ fin de rn~ procès,<Ajin qttt ~ ~ons(avoir ne, nè fe pe. urdirequ’en raill.ant. Les N...•=.nds pr~noncent4 ·1 ce q. ue vous faites. APn’qf..oll ~e ffin.nforrne de nen, il ordonna .. }ubrr, tr~nfpofam u~è lettre, commeilsfo !l[ fù b !< :IJ d’autres ll :’c· A _B ;A.N c. Elfe ~[Terne.~~ ~~entdeux conlhu~-- mots ; wrpts ppur -v•pru ? ·&c. . ... . ., . · uonsâdfér~tesdans unelll.C :IUeper. :~e.Jauenucettccondu•- , ··, · · · · ·· · · te•