Page:Ujfalvy - La Hongrie, son histoire, sa langue et sa littérature.djvu/12

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On ne peut être plus éloquent que Vorosmarty dans sa poésie touchante : Sans patrie; on ne peut être plus passionné que Petœfi dans son Idole.

Enfin, nous implorons l’indulgence du public pour l’étranger qui n’a voulu que faire connaître son pays, sa langue et la littérature de sa nation, à ce noble peuple français, qu’une si ancienne sympathie unit aux Magyares.

Notre peuple, d’ailleurs, n’a jamais marchandé l’admiration et la reconnaissance aux vaillants alliés de Szapolya et de Bathory.

Versailles, le 19 juillet 1871.

L’AUTEUR.