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TABLE


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qui je suis.
Mon enfance. — J’étudie la médecine. — Les matinées dans les hôpitaux. — Cent cinquante nouveaux-nés. — Deux cents nourrices. — MM. Andral et Bouillaud pour concurrents. — Neuf saignées. — Une portière sauvée. — Grandeur et décadence. — Une simple histoire autour d’un cercueil. 
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les maisons de jeu de paris.
Trois mois de folies en 1818. — La population des joueurs de profession. — Mes deux procédés pour l’étude de l’anatomie et de la pathologie. — Le café du Roi. — Un squelette vendu. — Un dîner d’amis. — Dînerons-nous ? ne dînerons-nous pas ? — La Fille d’honneur. — Les endettés du matin ; les enrichis du soir. — Trois mois de bénéfice au jeu. — Une idée de joueur. — Messieurs de la chambre. — Les chefs de parties. — Les bouts de tables. — Les tailleurs. — Les mœurs de maisons de jeu. — Un conseiller d’État. — Perse et Juvénal. — Une paire de bas de soie noire. — L’argot des joueurs. — Le joueur qui gagne, le joueur qui perd. — Les célébrités des maisons de jeu. — Les coups de Jarnac. — Lord Byron. — L’avare et le joueur. — Mon camarade de jeu. — La ferme des jeux. — Perrin des jeux. — Le Cercle des Étrangers. — Bernard. — Boursault. — Bénazet. — Le cahier des charges de la ferme des jeux. — Les produits bruts de 1819 à 1837. — Les maisons de bouillotte. — Les commandants. — Ne rouvrez pas les maisons de jeu. 
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