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Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/42

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<4» ) V X V B A B D. ' Que dites-vous ?\t• FREDERIC., '• Oui y fai surpris les horribles projets de ces monstres, et bientôt ils seront démasqués. EVRARD.\t* Se peut-il ?\t, .\t,\tFREDERIC. Dis-moi : Couci n’est pas instruit de mon existence , tu n’as pas trahi mon secret * .\t,\tEVRARD.\t, Pourriex-vous le penser , seigneur , puisque vous me Pa¬ vies défendu ? mais ne croyez vous pas que le moment est venu de l’informer de votre retour ? FREDERIC. Avant deux heures, je serai près de lui , il me verra : mais je veux que Raoul lui-même se livre à ma vengeances C’est en présence de Clotilde que je veux dévoiler toute la noirceur de son ânje. Ne perd pas un instant, Evrard. Cours au château , remets secrètement ces tablettes à Couci ; tu lui diras que tu les tiens d’un voyageur qui a continué sa route. J’ai pris soin de déguiser mon écriture, et je ne crains pas qu’ellé soit reconnu^. Lorsque tu auras rempli mon message, tu resteras au château, prêt à me seconder à tout événement. EVRARD. Il 8uffit.\t' FREDERIC. . Moi, je retourne dans la forêt ; c’est la que l’infâme Thi* baut doit venir me trouver. Adieu , Evrard : cette nuit sera le terme de tant d’iniquités, et les coupables recevront la juste récompense de leurs odieux forfaits. Fin du second Acte. v v\tVote pour les Départe me ns. Il est très-facile ds simplifier le ballet. Simplet, après avoir dit, - Scène 2, N'ai-je pas eu une bonne idée d'indiquer le devant de ma maison pour la cérémonie, dira de suite • Je ne crains qu'une chose.--- Que craine- eu/ etc. Alors il n’est plus question de Bohémiens; le ballet ne ae - trouve composé que de Villageois, pour lesquels des pas réglés ne sont pas absolument nécessaires.