Page:Vasson - Le Cri du néant.djvu/32

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Soudain, dans la torpeur du couchant écarlate,
Un coup de feu, troublant le grand silence, éclate ;
Un oiseau tombe mort, taché de sang vermeil.

Et d’autres coups de feu se succèdent sans trêve
Dans la haute forêt pleine d’ombre et de rêve
Où s’enfonce le disque énorme du soleil.